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COMMUNISTES

 

 

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N°499 Semaine du 13 au 19 mars 2017

 

16 mars 2017

 

 

 

Pays-Bas : une grande

recomposition politique

 

 

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INDRE : 16 et 17 Mars avec Antonio SANCHEZ

 

 

 

 

 

 

L es élections législatives aux Pays-Bas viennent de livrer leur verdict. Il se traduit par une forte recomposition politique. Si le parti du premier Ministre sortant, Mark Rutte, se maintient en première position avec 33 élus (-8), il perd du terrain ainsi que son allié traditionnel le parti travailliste qui s'effondre à 9 sièges contre 35 dans la précédente législature. Si les deux partis: Appel Chrétien Démocrate et Sociaux-libéraux des Démocrates 66 se maintiennent avec 19 sièges chacun, deux partis se distinguent dans cette recomposition, le parti Gauche-verte avec 16 sièges (+12) et le Parti de la Liberté de Geert Wilder avec 20 sièges (+5). La participation de près de 80% a été élevée.

 

Bien entendu, compte-tenu des enjeux de l'élection présidentielle en France, les commentateurs s'emploient à décrire le résultat du parti populiste comme un échec. Ils l'avaient monté au sommet mettant en avant la similarité des situations avec celles des USA, du Brexit et de ce qu'ils nomment: la montée des populismes en Europe. Hollande y voit “une victoire contre l'extrémisme” tandis que tous les dirigeants européens se réjouissent du succès relatif du premier Ministre sortant.

 

Ils peuvent en effet se réjouir, ce dernier, un ancien dirigeant du monopole Unilever, a mené depuis de nombreuses années une politique de régression des droits sociaux assez semblable à celle que mènent les gouvernements français et européens. Il a de surcroît intégré dans son discours une ligne nationaliste proche de celle du parti populiste, on l'a vu avec la violente polémique avec la Turquie à propos de l'interdiction de meetings organisés par les autorités turques sur le référendum en Turquie, qui ont été interdit par le gouvernement des Pays-Bas et des phrases du genre:” si on n'aime pas ce pays on n'est pas obligé d'y rester”! Il n'empêche que l'appel au vote utile, le moins pire diront certains, permet aux forces de la bourgeoisie de maintenir leur domination politique et de mettre en oeuvre des politiques antisociales qui génèrent un grand mécontentement. Tous les partis qui se placent dans le cadre du maintien du système capitaliste cadenassent ainsi une issue favorable aux travailleurs et au peuple.

 

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