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comporte des caractères illisibles, cliquer sur ce lien COMMUNISTES N°524 Semaine du 04 au 10 septembre au 2017 05 septembre 2017 |
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12
septembre, Une journée qui comptera pour le
développement de l’action |
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Lire Egalement Tous ensemble dans l’action le 12 septembre Et Le plan de Lénine pour la révolution socialiste Et quelles
en sont ses causes profondes ? Et Et Et Suppression des contrats aidés : Pas de petits profits
pour Macron et ses amis capitalistes |
Ce sera la première grande
journée d’action, de mobilisation nationale contre la casse du code du
travail, pour stopper l’offensive de Macron avec le MEDEF contre les
travailleurs et le peuple. Le 12 septembre sera une journée
importante de grèves, d’action de manifestations, à l’appel de la CGT,
Solidaires, la FSU, l’UNEF. La mobilisation grandit, des
manifestations sont déjà annoncées dans plus de 41 régions et départements.
Les fédérations des transports CGT et FO et FO-UNCP appellent ensemble les
salariés à une réponse massive le 12 septembre. La CFE-CGC qui est contre les
ordonnances sur la « loi travail » n’exclut pas de se mobiliser. Cette journée est le début d’une
grande mobilisation qui se
développera, le début de l’action qui grandira partout car le mécontentement,
le rejet de cette politique de régression sociale est immense. L’attaque est d’envergure, seule
l’action la stoppera La « loi travail » est
la première d’une grande liste de « réformes fondamentales » que
Macron veut imposer pour adapter toute la société française aux exigences du
capitalisme qui l’a mis en place au pouvoir pour ça. Il faut impérativement mettre en
bonne place les multinationales françaises dans la concurrence mondiale
capitaliste. E. Macron dans son interview du 31 août au journal
« Le Point » confirme : « Le but dans la
mondialisation, c’est de réussir, d’être des leaders… ». La « loi travail »
c’est un ensemble de régressions profondes pour les salariés de toutes les
entreprises, ceux des PME comme ceux des multinationales, pour les
fonctionnaires et tous les salariés sous statuts, un ensemble qui détruit le
droit du travail, qui livre les
salariés à l’exploitation capitaliste
libérée de toute entrave. Les autres chantiers que le
gouvernement a déjà mis en place ou prépare, touchent tous les
secteurs : *La réforme de l’assurance
chômage, qui ne sera plus financée par la cotisation sur le travail mais par
les impôts et la CSG – la réforme du système des retraites avec la suppression
de tous les régimes spéciaux – la
réforme de l’apprentissage pour l’adapter aux besoins des entreprises
capitalistes, avec parallèlement la réforme de l’Eduction Nationale qui veut
instaurer le sélection dès l’école primaire, « Il faut donner à chacun
sa place, arrêter de faire croire que l’Université est pour tout le
Monde » a dit Macron – la réforme du logement avec la baisse de l’APL
(400 millions d’économies) et la suppression de l’obligation pour les
communes de construire 25% de logements sociaux ! Le budget 2018, c’est un plan de 20
milliards d’ « économies » dont 7 sur la Sécurité Sociale, 2
milliards avec le gel du point d’indice pour les fonctionnaires, 3 milliards
sur les collectivités locales, 150 millions avec la suppression déjà de 10.000 postes de fonctionnaires. *Le gouvernement privatise.
outre l’introduction de la concurrence capitaliste dans les entreprises
publiques- SNCF – EDF – GDF – les hôpitaux. Le gouvernement se prépare à
vendre des parts des entreprises dans lesquelles il est actionnaire,
pour engranger des milliards :
Renault – Engie – Safran- les Aéroports – Air France KLM – la Française des
jeux. Le MEDEF est satisfait, il le
peut. Déjà les profits capitalistes battent des records. Les seules
entreprises du CAC 40 enregistrent 52 milliards de profits au 1er
semestre 2017 – en hausse de 26,5%. Elles estiment qu’elles atteindront plus
de 100 milliards à la fin de l’année. « Le moral des industriels
est au plus haut depuis 2007 » écrit le journal financier « Les
Echos ». « L’automobile tourne à plein régime, résultats records
pour les chimistes, l’aéronautique est en bonne forme ». Les richesse produites par le
travail des salariés – 2.200 milliards, en hausse, cette année sont
totalement accaparées par les
capitalistes. Macron, accélère la réalisation
des objectifs du capital : tout pour l’entreprise capitaliste, adapter
toute la société française à cet objectif. C’est ce qu’il appelle dans la
presse : « libérer les énergies – répondre au problème de la compétitivité ».
Il faut dit-il « alléger le coût du travail, c’est ce que nous
faisons, faire payer les moins pauvres ». Il ajoute même
qu’ « aujourd’hui les
retraités sont moins pauvres que les jeunes », ils doivent payer
plus ! Macron et le MEDEF, leurs
« réformes », c’est l’aggravation accentuée de l’exploitation
capitaliste. Ils s’attaquent à tous les secteurs de la vie du peuple. Contre
cette politique les travailleurs, le peuple, ont comme arme leur lutte, tous
ensemble ils doivent agir de plus en plus fort. La seule chose que Macron et le
MEDEF craignent, c’est la lutte Les travailleurs, le peuple,
sont le nombre. Unis ils représentent une
force immense Ce 12 septembre est une journée
très importante. C’est le début d’une lutte qui va grandir pour mettre un
coup d’arrêt à l’offensive de Macron avec le capital. Notre Parti est mobilisé partout pour contribuer à faire du
12 septembre une journée très importante qui impulsera le développement indispensable de l’action Notre parti démontre que la
France a les moyens économiques,
financiers, culturels pour faire une autre politique au service du
peuple. Pour cela il faut mener la lutte politique clairement
anticapitaliste. Il faut arracher les moyens aux multinationales qui les
possèdent. Notre Parti mène cette lutte et y appelle. Aujourd’hui, l’urgence est de
stopper Macron et le capital. Mobilisons-nous partout. Assurons le succès de la journée
du 12 septembre./ Lire,
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discussion Et Et Bureau National du 14 juin
2016 - rapport Et |
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1917 Leur «moralisation » c’est ça ! Le grand capital
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