Journal N° 31 de septembre 2002
SOMMAIRE
Prochaine réunion du Comité national
Non à l’agression américaine en Irak
Pour les uns, les impôts baissent
Renault-Douai : le personnel a besoin de réponses
A la Sollac dans le Pas de Calais, la direction
veut sanctionner les travailleurs
Les Français défendent le service public
Recommander ce journal à
un(e) ami(e)
Edito
Au
moment où nous mettons en page ce journal, les dirigeants américains se
préparent à agresser le peuple irakien, car c’est le peuple soumis depuis dix
ans à un blocus infâme qui sera la seule victime. Saddam Hussein remplacé par
un nouveau dictateur étroitement
soumis aux rois du pétrole américains, est-ce mieux pour le peuple
irakien ? La main-mise des
dirigeants US armés jusqu’aux dents sur le monde entier est-ce cela qui
assurerait la paix universelle ?
Evidemment NON ! C’est pourtant cette main-mise que BUSH et les
siens veulent établir sur toute la planète. L’attaque contre l’IRAK fait partie
de ce plan. Nous ne voulons ni des USA ni de personne d’ailleurs comme gendarme
du monde.
RAFFARIN
soigne la France “ d’en bas ”, les premiers résultats le
prouvent : hausse des prix, nouveaux cadeaux au patronat, poursuite des
attaques contre les retraites, blocage du SMIC, licenciements, délocalisations,
privatisations, inflation des dépenses militaires etc… Il n’a pas eu à innover,
la gauche plurielle avait tout préparé. Il ne fait que continuer ce qu’elle
avait commencé. Seule change la manière (et encore pas tellement !)
Ni
droite ni gauche plurielle. C’est de nous, le peuple, que dépend le changement.
Il dépend de notre action pour bloquer les nouvelles attaques du patronat et du
gouvernement et pour rompre définitivement avec cette politique.
Nous
avions besoin d’un parti politique à notre service. Maintenant il existe, c’est
“ COMUNISTES ”. Renseignez-vous, Rejoignez nous .
.
Ordre du jour :
la situation politique et
les questions du syndicalisme français
° ° ° ° °
Vous pourrez prendre
connaissance du compte-rendu de ses travaux sur notre site à partir du 25 septembre
et dans notre prochain
journal d’octobre
NON A L’AGRESSION
AMERICAINE EN IRAK
S’appuyant sur des moyens
énormes, une campagne se développe pour justifier une intervention des USA
contre l’IRAK. Il s’agirait dit-on de débarrasser l’IRAK de SADDAM HUSSEIN et
de remettre ce pays sur le chemin de la démocratie. Dans une interview au
journal “ Le Monde ” du 8 septembre, le chef de la diplomatie US,
Colin POWEL, a très longuement insisté : “ Nous pensons que la
communauté internationale avec les Etats-Unis à sa tête A l’obligation d’aider
le peuple irakien à sortir de la situation terrible dans laquelle l’ont mis ses
dirigeants ”.
Depuis des années le peuple
irakien subit la dictature de Saddam Hussein et de son parti le Baas. De la
guerre contre l’Iran, à l’intervention occidentale et au blocus, le peuple
irakien souffre, les militants communistes sont pourchassés, emprisonnés,
assassinés.
Mais est-ce cela que Bush
et ses alliés veulent changer ? Les faits montrent que non. Alors quels
sont les objectifs réels qu’ils poursuivent ?
L’impérialisme américain et
britannique veulent se débarrasser de Saddam Hussein pour le remplacer par un
homme à eux, favorable à leurs intérêts et qui conserverait la structure
politique dictatoriale qui a permis de juguler tout mouvement d’émancipation
populaire.
Les dirigeants des USA ne
veulent pas rétablir la démocratie en Irak. Ce qu’ils veulent ce sont les
ressources pétrolières de ce pays qui sont immenses. Elles sont estimées à 110
milliards de barils, ce qui en fait le deuxième état pétrolier du golfe
derrière l’Arabie Saoudite et l’un des plus importants du monde. Plus largement
c’est le contrôle de tout le Moyen-Orient, cette région sensible et stratégique
qui est le but de l’intervention américaine.
La substitution cynique
d’un régime irakien ami des américains à la dictature de Saddam Hussein
changerait totalement la donne dans cette région cruciale. Déjà la guerre du
golfe en 1991 visait à briser l’Irak, capable à l’époque de s’affirmer comme
une puissance régionale moderne contestant l’hégémonie américaine.
Depuis douze ans, l’Irak
est sous embargo. Le blocus qu’il subit fait que ce pays est revenu à un stade
quasi pré-industriel. “ Sa croissance économique s’est contractée
dramatiquement et l’activité économique réelle est aujourd’hui inférieure à son
niveau de 1992 ” constate Jean GARRIGUES un économiste français. Ce pays
de 25 millions d’habitants dont plus de 40% ont moins de 15 ans connaît depuis
des années la pénurie : la nourriture manque, le peuple est sous-alimenté,
les médicaments les plus nécessaires font défaut, des milliers d’enfants
meurent faute de pouvoir être soignés. En 2000 le pays aurait dégagé un produit
national brut (PNB) de 57 milliards de dollars, (alors que celui de la France
s’élevait à 1.200 milliards). L’inflation dépasse 100%.
Ce pays est comme beaucoup
d’autres victime de la loi du plus fort appliquée par les dirigeants US contre
ceux qui veulent être libres et indépendants. Et ce sont ces pays que les chefs
du Pentagone et les médias à leur service traitent de peuples
voyous ! C’est l’agresseur qui insulte ses victimes agressées! Toutes
les décisions des Etats-Unis sont prises dans le seul but d’assurer leur
hégémonie sur le monde entier. Leur propre puissance passe avant tout.
S’ils veulent comme ils le
disent défendre la justice, qu’attendent-ils pour contraindre les dirigeants
israéliens à se conformer au droit international ? Ce droit est pourtant
violé tous les jours par l’existence des colonies juives de peuplement dans les
territoires occupés depuis 1967. Qu’attendent-ils pour les contraindre à se
dégager de la Cisjordanie occupée et de la bande de Gaza encerclée, afin de
donner aux palestiniens l’Etat auquel ils ont droit ?
Une nouvelle guerre en Irak
n’affaiblirait pas Saddam Hussein, au contraire. Elle n’affaiblirait pas le
terrorisme : au contraire, elle élargirait ses bases dans le monde.
S’opposer à l’intervention
guerrière qui se prépare, c’est aider le peuple Irakien à se débarrasser
lui-même de la dictature qui l’opprime. Il faut vite rassembler les oppositions
à la guerre impérialiste et exiger du gouvernement français et des dirigeants
européens une position claire contre l’intervention militaire. Il est temps de
dire avec force aux dirigeants américains : stop à l’agression contre
l’Irak et aux agressions dans le monde.
Défendre l’indépendance des peuples c’est
défendre celle de la France.
Militarisation à outrance
BUSH a augmenté le
budget de la défense de 15%. Un budget déjà supérieur à lui seul à celui des 15
autres pays les plus armés au monde.
Ces crédits
militaires sont de 379 milliards de dollars soit une augmentation de 48
milliards auxquels s’ajoutent 38 milliards destinés à “ protéger le
territoire ”.
Comparez avec le
produit national brut (PNB) de l’IRAK pour l’année 2000 : 57 milliards de
dollars !
Qui sont les
“ Etats voyous ” ?
Mr Rolf EKREUS a dirigé les inspecteurs des Nations Unies en Irak entre 1991 et 1997. Il a récemment révélé que les USA avaient utilisé les inspecteurs à des tâches d’espionnage. (The financial Times. Londres 30 juillet 2002)
EPARGNE
SALARIALE : DANGER
C’est par ce titre que
“COMMUNISTES ” mettait en garde dans son numéro d’avril 2002.
Rappel :
l’épargne salariale est née d’une loi de janvier 2001 votée par la Gauche
plurielle et une partie de la droite, l’autre s’abstenant.
But de cette épargne
salariale : donner au capitalisme de nouveaux moyens financiers en
puisant dans les poches des salariés. En 2000 les fonds gérés représentaient
54,8 milliards d’euros. La prévision pour les prochaines années est de 200
milliards d’euros.
Un enjeu énorme. En
créant l’épargne salariale, patronat et gouvernements veulent intégrer les
salariés et leurs syndicats au système de l’exploitation capitaliste.
Le Comité
Intersyndical a l’œuvre.
Pour ce faire un
comité intersyndical de suivi a été mis en place. Il comprend la CFDT, la
CFTC, la CGC et la CGT.
Il vient de désigner
les dix sociétés capitalistes qui
vont être chargées de gérer l’épargne salariale sur la base “ d’offres socialement responsables ”.
Ainsi ce comité nous demande de faire confiance à ces grands financiers qui
exploitent des millions de salariés ! Nous devrions faire confiance à ceux
là mêmes qui s’opposent à l’augmentation des salaires, à la diminution du temps de travail, à
ceux qui s’attaquent à nos retraites, qui veulent supprimer le système par
répartition !
Parmi des dix sociétés,
l’une d’elle AXA mérite que l’on rappelle quelques unes de ses positions.
Premier assureur mondial qui gère plus de mille milliards d’euros (plus de six
mille milliards de francs), elle est dirigée par C. BEBEAR qui en 1995 a lancé l’idée d’une Sécurité Sociale
privée en concurrence avec celle existante, les salariés cotisant à l’une ou à
l’autre suivant leur “ libre ” choix.
En 1998 AXA refuse de
continuer à assurer les handicapés
auxquels les parents veulent préparer une rente qui leur assurerait les
moyens d’existence le jour où ils ne seront plus là. Le 1er juin
2002, AXA annonce qu’elle va
supprimer 10% de ses effectifs cette année pour économiser 150 millions
d’euros. Enfin C. BEBEAR, déclare le 31 août devant le
MEDEF : “quand vous créez 1000 emplois nouveaux aux Indes ou au
Bangladesh, vous aidez beaucoup ces pays et vous créez un problème très limité
en France ” Les salariés victimes des délocalisations apprécieront.
Ajoutons pour faire bonne mesure, que ce BEBEAR a déclaré que “ la race
blanche est en train de se suicider ”.
L’attitude des
syndicats
Si de la part des
syndicats réformistes la participation à ce Comité n’est pas pour nous
surprendre, les motivations de la CGT posent, à notre avis, question . Dans une interview au journal
“ les Echos ” B. THIBAULT la justifie en disant : “
la loi sur l’épargne salariale a été votée malgré notre désaccord… le
meilleur moyen de défendre l’intérêt des salariés est désormais de participer à
la gestion de cette épargne… ”
Nous ne pensons pas que
la défense des intérêts des salariés passe par là. Cette loi est mauvaise, il faut la dénoncer.
Il n’existe pas d’autre solution que d’agir contre résolument, d’appeler les
travailleurs à la refuser. Nous, nous la refusons.
Il faut appeler à agir,
prendre des initiatives pour le maintien de la retraite par répartition qui est
menacée et faire qu’elle assure des conditions de vie normale aux retraités.
Les moyens existent. Il
faut avoir le courage d’aller les chercher là où ils sont : dans les
profits capitalistes.
10% des français les plus aisés vont capter 70% de la
baisse.
1% des foyers , le dessus du panier, capteront les 30%
qui restent.
Pour les autres la vie augmente. Une avalanche ! D’abord les 3,4% d’augmentation des tarifs RATP et des transports urbains. Ensuite, l’augmentation annuelle surprise de 1,8% des tarifs de la SNCF. Puis la revalorisation de l’abonnement France Télécom de 3,6%, argumentée comme une nécessité règlementaire vis à vis de Bruxelles. A cela s’ajoute la hausse de 9% du tarif postal de base. Sans oublier l’augmentation du prix du carburant à la pompe.
Finalement Dominique VOYNET qui envisageait de
s’inscrire à l’ANPE après ses échecs électoraux va travailler avec Nicole
NOTAT. Celle qui s’apprête à quitter le secrétariat national des Verts
n’oeuvrera pas directement au sein de Vigeo, l’agence que dirige l’ex-patronne
de la CFDT, mais elle créera une société à laquelle fera appel Vigeo.
Qui se ressemble s’assemble.
LE PERSONNEL A
BESOIN DE REPONSES CLAIRES
RENAULT-DOUAI a été implanté dans le
Douaisis, suite au combat âpre et sans relâche des mineurs, des métallurgistes,
des sidérurgistes, avec leurs syndicats CGT pour le développement industriel du
Nord-Pas-deCalais, face aux fermetures des puits de mines. Ce fut un combat
difficile gagné contre les hommes de la finance. Rappelons ce que disait le PDG
de RENAULT Georges BESSE à son époque ; “ Douai est une erreur
industrielle ”.
Depuis plus de trente ans, le personnel
s’est toujours battu contre toutes les dérives visant à la désindustrialisation
de l’entreprise. Aujourd’hui le combat continue. Le syndicat CGT de
Renault-Douai a distribué au personnel une copie de la lettre ouverte qu’il
venait d’adresser à Louis SCHWEITZER, PDG des usines RENAULT. Dans cette
lettre, le syndicat s’est fait le porte parole d’un très grand nombre de travailleurs et travailleuses
inquiets des problèmes de montage que rencontre la fabrication de SCENIC et
MEGANE II au moment de sa commercialisation et à quelques semaines du salon de
l’auto.
Les plus anciens qui ont participé aux
lancement des précédents véhicules affirment que la MEGANE II n’est pas dans
les meilleures conditions pour sa réussite. Ils soulignent qu’ils n’ont jamais
connu une telle situation.
Dans l’attente des pièces en retard, des
milliers de SCENIC, MEGANE II, sont stockés partout dans l’usine, posant des problèmes
de circulation et de sécurité pour les travailleurs.
Cette situation n’est pas dûe au
hasard . C’est le résultat de la politique du moindre coût, menée envers
les fournisseurs et du démantèlement du savoir faire de Renault. On mesure
aujourd’hui les effets néfastes de cette stratégie industrielle du tout à la
sous-traitance.
Il est urgent de réimplanter la
fabrication d’éléments d’assemblage des véhicules dans l’entreprise, pour
assurer la production, respecter les délais de livraisons et surtout y
développer l’emploi en CDI car il manque en permanence 3.000 emplois en CDI à
RENAULT-DOUAI.
Le syndicat réaffirme qu’il est pour le
succès de MEGANE II qui doit dépasser celui de la SCENIC. Il réclame notamment
un bureau d’embauche, l’amélioration des conditions de travail, le salaire net
à 1.830 euros (12.000f), la retraite à 55 ans pleine et entière, une prime
uniforme de lancement de 763 euros. Il ajoute : “ La satisfaction de
ces revendications est déterminante pour la réussite de la MEGANE II ”.
A LA
SOLLAC dans le Pas de Calais
LA DIRECTION
VEUT SANCTIONNER LES TRAVAILLEURS QUI DEFENDENT LEUR EMPLOI
La direction de SOLLAC ATLANTIQUE pousse
l’ignominie jusqu’à son comble. Non contente de prévoir la fermeture pure et
simple du site de BIACHE sans réel projet de réindustrialisation et sans
prendre en compte les besoins des travailleurs, elle convoque des salariés à un
entretien préalable à sanction pouvant aller jusqu’au licenciement…
Motif : leur participation à des
actions pour le maintien des emplois et des productions.
“ COMMUNISTES ” réaffirme son
soutien actif à toutes les initiatives et actions qui se sont déroulées et celles
à venir afin de maintenir les emplois, les salaires, pour que les travailleurs
de SOLLAC, leurs familles, continuent de vivre dignement.
Nous condamnons fermement cette
provocation qui consiste à convoquer pour sanction les travailleurs ayant participé
aux différentes manifestations et nous exigeons la levée des sanctions.
La droite a remplacé la gauche, la
politique reste la même.
En mars dernier, notre congrès s’est
adressé au gouvernement de la Gauche Plurielle pour lui demander l’interdiction
de la fermeture du site et les licenciements.
Francis MER, aujourd’hui ministre, a
présenté le projet de fusion débouchant sur la constitution du groupe ARCELOR
sans citer le site de BIACHE ni le
projet de sa fermeture.
Nous disons que le site de BIACHE doit
rester un fournisseur privilégié pour le secteur de l’automobile et
particulièrement pour RENAULT-DOUAI
proche de celui-ci
COMMUNISTE renouvelle sa solidarité
totale aux travailleurs en lutte.
C’est lui qui a succédé à L.
FABIUS au ministère de l’Economie, des Finances et de l’industrie. Il a démarré
sa carrière de grand patron en 1974 en prenant les rênes de Saint-Gobain-Pont à
Mousson. En 1986, BALLADUR lui
donne la présidence d’Usinor-Sacilor où on se souvient de son passage :
fermetures de sites, coupes claires dans les effectifs… Depuis il n’a fait que
grimper dans la hiérarchie capitaliste.
La presse de droite dit
“ qu’il passe bien auprès des syndicats ”. L’exemple de BIACHE dit
tout le contraire !
Nous apprenons que Jean Christophe LE DUIGOU, responsable économique de la CGT, a signé au côté de Francis MER un “ manifeste pour le développement durable ”. Nous désapprouvons une telle initiative venant de la part d’un dirigeant de la CGT.
La Poste/EDF/SNCF: les Français défendent Le service
public.
Une majorité de Français estime que l'Etat français doit rester actionnaire de La
Poste (69%), EDF (69%), la SNCF (66%), GDF (64%), France Télécom (53%), Air
France (52%) et France Télévision (51%), selon un sondage CSA/LA Tribune
Né en 1908, métallurgiste, Henry ROL-TANGUY entra en
1925 aux usines RENAULT de BILLANCOURT. Il adhéra là aux jeunesses Communistes.
En 1936 lorsque la guerre d’Espagne éclate, il rejoint les Brigades
Internationales aux côtés des républicains. Mobilisé en août 1939 il entra dès
octobre 1940 dans la clandestinité. C’est lui qui donna le 19 août 1944 l’ordre
de l’insurrection parisienne contre l’occupant nazi. Il reçut le 25 août avec
le Général LECLERC, la reddition du général nazi VON CHOLTIZ qui commandait la
garnison allemande du grand Paris.
Il fut membre du Comité Central du PCF jusqu’en 1987.
Il était compagnon de la libération et Grand-Croix de la légion d’honneur.Nous
nous associons aux hommages qui
sont rendus à cet ancien ouvrier métallurgiste qui a profondément marqué
l’histoire du mouvement ouvrier et révolutionnaire français .
Le Bureau National a décidé de créer un bulletin
“ Finances ”. Ce bulletin c’est le vôtre, nous souhaitons qu’il
reflète les initiatives de chacun.
L’aspect financier est un pilier d’un parti révolutionnaire.
Il conditionne l’indépendance du parti et lui procure les moyens d’agir
librement et dans la clarté. Nous ne voulons dépendre de personne.
Examinons les diverses sources de financement possible
que nous avons à notre disposition :
-les cotisations des adhérents
-les souscriptions et initiatives financières
-les dons des camarades et sympathisants
-le reversement des indemnités des élus
Trouvons
ensemble les solutions qui nous permettront d’avancer sur ces différents
sujets.
Actuellement la cotisation représente l’essentiel de
nos ressources. D’autres initiatives sont elles aussi susceptibles d’améliorer
nos finances. Des choses simples s’offrent à nous. Choisissons celle qui est
susceptible de s’adapter le mieux à ce que nous savons faire.
*La fête du journal “ Communistes ” autour
d’un repas ou d’un buffet campagnard.
*un concours de pétanque peut être très attractif
*l’organisation d’un loto est très populaire
*une tombola de masse est aussi une bonne façon d’amener
une bonne rentrée d’argent
adressons nous à ceux qui nous entourent, aux
sympathisants, aux commerçants, pour collecter des lots pour nos initiatives
*La vente de produits régionaux, surtout au moment des
fêtes de fin d’année, peut
être intéressante. Essayons de
trouver les produits les plus attractifs (vins, huitres, foie gras etc…)
*la vente du muguet pour le 1er mai peut
être très rentable
Voilà quelques idées. Echangeons nos expériences, nos
idées.
Nous contacterons les responsables des collectifs, les
camarades dans les départements, pour un échange.
Vous pouvez si vous le souhaitez, appeler les camarades Georges
MARCHAND ou Robert VEYRIER :
06-62-06-85-75
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