Journal N° 42 de janvier 2004

 

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SOMMAIRE

Edito : Leur barrer la route

Assez discuté, maintenant il faut agir et vite

CHIRAC supprime la Taxe Professionnelle

Régionales : la proportionnelle, c’est fini !

Elections régionales en P.A.C.A.

Réunion publique en Ile de France

Souscription nationale pour les élections

DECENTRALISATION : Adapter la France à l’Europe capitaliste

La Recherche française en grave danger

 

 

 

 

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Sommaire

 

 

 

Edito

Leur barrer  la route.

 

A les entendre tous, la seule façon de s’en sortir serait d’aider les entreprises à augmenter leurs profits. La droite et le FN le disent ouvertement, les autres n’en pensent pas moins. Depuis que la Droite est au gouvernement elle a, comme ses prédécesseurs, Gauche unie, plurielle,ou Droite, enchaîné les mesures favorisant le patronat.RAFFARIN se flatte que 11 réformes législatives auront été engagées par son ministère en moins de trois ans. Une flopée de mesures sont intervenues dans tous les domaines sociaux. Hier les retraites, aujourd’hui le CDD de longue durée et les attaques redoublées contre le code du travail, la suppression d’un jour férié, la suppression de la taxe professionnelle… demain la Sécurité Sociale et la limitation du droit de grève…

 

Le but commun à toutes ces réformes c’est la hausse des profits patronaux par l’exploitation accrue des salariés et du peuple.

 

« … Il faut faire confiance à l’entreprise, nom de Dieu !» (sic) s’est exclamé SEILLIERE récemment en se félicitant des mesures prises par le gouvernement.

Faire confiance au patronat c’est la dernière chose à faire. Des dizaines de milliards d’Euros lui ont été offerts en cadeau, de l’argent pris aux travailleurs. Résultat : notre situation s’est encore aggravée, elle s’aggravera bien plus si nous nous laissons faire. Ce qu’ils préparent est très inquiétant.

 

L’heure n’est plus aux palabres.

 

Il faut agir et fortement pour leur barrer la route, il est temps. Des luttes ont lieu à la SNCF, dans les hôpitaux, dans des entreprises…Il est urgent qu’elles s’élargissent. Seule une grande action nationale peut mettre en échec le patronat et le gouvernement.

 

La rédaction

 

 

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Assez discuté, maintenant il faut agir et vite

 

Aujourd’hui deux emplois sur trois se font déjà avec des CDD (contrats à durée déterminée) alors qu’il y a dix ans c’était l’inverse. La part des contrats précaires ne cesse d’augmenter.

Le CDI (emploi permanent) qui était la règle est en train de devenir l’exception. La précarité est de plus en plus importante dans toutes les entreprises.

 

  Le patronat veut aller encore beaucoup plus loin. Il est en train avec le gouvernement de détruire le code du travail et les dernières garanties qui protègent encore les salariés. François FILLON s’est fait remettre le 15 janvier par un certain DE VIRVILLE un rapport qui attaque brutalement le droit du travail.

 

  Ce DE VIRVILLE n’est pas le premier venu, c’est le secrétaire général du groupe RENAULT. Selon lui « le droit du travail est devenu une source de forte insécurité », d’où sa proposition du « contrat de projet » d’une durée qui sera fixée par l’entreprise (entre deux et cinq ans).

 

  Une fois de plus, comme toujours, sous prétexte de souplesse, on assouplit les contraintes des entreprises ! SEILLIERE et le MEDEF se sont félicité de cette mesure, souhaitant qu’elle soit étendue rapidement à tous les emplois ( services publics, fonctionnaires…).

 

  Ce n’est pas tout. Le rapport DE VIRVILLE contient cinquante propositions qui veulent dit-il, toutes, « une réglementation efficace pour protéger les salariés et favoriser le développement de l’emploi ».

 

 

Qui est DE VIRVILLE ?

Itinéraire

d’un ennemi de classe

 

*En 1986 il débute en politique dans l’équipe de Laurent FABIUS alors premier ministre dont le directeur de cabinet est Louis SCHWEITZER, nommé peu après Président de RENAULT.

 

*En 1996, à la demande de J. BARROT alors ministre du travail, il rédige (déjà !) un rapport sur la formation avec Philippe BAS secrétaire général de l’Elysée de CHIRAC.

 

*En 1997 c’est lui le principal artisan de la fermeture de VILVORDE en Belgique

 

*Très présent au sein du patronat il est l’une des passerelles indispensables entre la gauche et le MEDEF.

 

 

Assez discuté

 

Comme d’habitude le gouvernement se dit prêt à discuter. « Tout est ouvert, rien n’est arrêté. Tout dépendra de la concertation » a indiqué FILLON qui recevra les syndicats fin janvier « pour fixer un calendrier et une méthodologie ».                                   

 

A quoi ont servi les nombreuses discussion précédentes, celles sur les retraites en particulier ? Le patronat et le gouvernement ont atteint leurs objectifs et les syndicats lui ont ainsi apporté leur caution. La même chose se prépare avec la sécu.

 

Maintenant ça suffit. La preuve est archi-faite que les syndicats n’ont rien à faire dans les salons ministériels. Seule la lutte des salariés fera reculer patrons et gouvernement. Agissons !

 

 

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CHIRAC supprime

la taxe professionnelle

 

Payée par les entreprises, la taxe professionnelle est une ressource budgétaire très importante. Avec plus de dix huit milliards d’Euros, elle représente 44% des recettes fiscales directes des communes et joue un rôle central dans le financement des collectivités territoriales.

 

CHIRAC la supprime pour dit-il « ne pas pénaliser l’industrie et favoriser le retour de la croissance et de l’emploi ». Plus de dix huit milliards d’Euros, deux fois le déficit 2003 de la Sécurité Sociale, vont ainsi passer dans les poches du patronat. Celui-ci dit tout son contentement : « c’est une très bonne surprise. Nous espérions une telle mesure mais nous ne l’attendions pas aujourd’hui…C’est de la marge et du bénéfice en plus » a déclaré un dirigeant du MEDEF.

 

Les salariés et le peuple vont payer la note une fois de plus. Le syndicat des impôts précise que la suppression de la taxe professionnelle se répercutera mécaniquement sur les impôts locaux. Le mode de financement des 36.000 communes française sera dûrement touché

 

L’argent ne peut pas être utilisé deux fois, ce qui est donné au patronat est volé aux travailleurs.

Ne nous laissons pas faire.

 

 

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REGIONALES : la proportionnelle c’est fini

 

Les élections régionales et cantonales ( dans la moitié des cantons seulement) auront lieu les 21 et 28 mars. Les règles du scrutin régional ont été complètement modifiées,  la proportionnelle intégrale à un tour, seul mode de scrutin démocratique, disparaît. Désormais la liste arrivée en tête au second tour recevra une « prime » de 25% des sièges en plus de ceux qu’elle aura normalement obtenus. Quant aux petites formations politiques, elles seront éliminées dès le premier tour puisqu’elles devront avoir obtenu 10% des suffrages exprimés pour avoir le droit de se maintenir au second.

 

Le vote des électeurs est bafoué. C’est scandaleux. Leurs voix sont utilisées sans vergogne pour cautionner des combinaisons électorales au service de partis politiques qui, une fois au gouvernement, font une politique au service de la finance.

 

C’est JOSPIN et la Gauche plurielle qui ont, dès janvier 1999, voté une loi annulant la proportionnelle au premier tour aux régionales. Depuis RAFFARIN l’a encore modifiée dans le même sens.

 

Ce ne sont pas ces sordides tripatouillages électoraux qui remplaceront ce qui manque cruellement au pays, une politique au service des salariés et du peuple dans laquelle ils se reconnaîtraient. Aux dernières régionales, en 1998, 42% des inscrits se sont abstenus  contre 31% six ans plus tôt. En comptant les non-inscrits et les bulletins nuls, près de la moitié des français n’ont pas voté. Pourquoi ? Parce que la politique qui se mène n’est pas la leur. Parce que ce sont eux qui en font les frais : salaires qui stagnent, emploi qui régresse, vie qui augmente, Sécurité Sociale, retraites attaquées.

 

Un autre représentant de ces partis politiques,  qui rêve d’accéder au pouvoir c’est LE PEN. Derrière l’image de  sauveur du pays, derrière les propos démagogiques qu’il développe se cachent un homme et un  parti  au service exclusif du capital. Voyez son programme (ou plutôt ce qu’il en laisse voir !). Les salariés et le peuple n’ont rien à attendre de ce personnage et de son parti sinon de nouvelles aggravations de leurs conditions de vie et de travail, de nouvelles privations de libertés.

 

De la droite à la gauche, les mêmes qui avaient appelé à voter CHIRAC en avril 2002 pour soi-disant écarter LE PEN  risquent fort de répéter leur opération aux régionales de mars dans certaines régions (PACA par exemple). Puisque c’est la politique actuelle qui assure la progression de LE PEN dans l’opinion, voter pour cette politique, pour ceux qui la mènent et ceux qui la soutiennent ce n’est pas « barrer la route » à LE PEN, c’est au contraire lui ouvrir la voie. Pensons-y aux régionales. A Gauche comme à Droite et à l’extrême-droite, aucune formation n’offre un changement de politique. Par contre, comme d’habitude, les promesses électorales ne manquent pas.

 

« COMMUNISTES »a été créé pour ouvrir une autre perpective politique à notre pays. Une perspective crédible car il démontre concrètement que les moyens en existent si l’on s’attaque au capital. Ils ne dit pas aux travailleurs « votez pour nous et on fera le reste » mais luttons ensemble pour changer de politique et de société. C’est cela la clé du changement.

 

La loi électorale qui implique des listes par région demande des sommes astronomiques pour faire face aux frais de campagne. Elle ne nous permet pas de présenter des listes pour cette élection (nous ne sommes créés que depuis mars 2002) mais nous serons présents, nous diffuserons partout notre opinion.

 

Pour les élections cantonales nous aurons de nombreux candidats, nous vous en informerons dans le prochain journal.

 

 

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Élections Régionales en P.A.C.A.

 

Si LE PEN n’existait pas, il faudrait l’inventer. En disant cela, il ne s’agit surtout pas de minimiser le danger que représente cette formation « ni de gauche ni de droite » mais d’extrême droite qui a géré ou gère encore des villes (Toulon, Marignane, Orange) dans notre région pour le plus grand bénéfice du patronat local.

La présence du FN et ses résultats électoraux permettent toutes les combinaisons politiciennes pour que la même politique se poursuive. Le « tous ensemble contre LE PEN », dans notre région, fait que celle – ci est dirigée alternativement par la Droite ou la Gauche sans que cela change rien aux conditions de vie de la population qui continuent de se dégrader. Tout est mis en place pour que notre région réponde aux objectifs capitalistes européens et mondiaux.

 

L’agriculture devient « une réserve d’indiens » pour touristes à la recherche de l’identité provençale. Il y a bien longtemps que les terres agricoles du bord de mer ont fait la place à la spéculation immobilière. Cette spéculation fait qu’aujourd’hui il est presque impossible pour un jeune de se loger et quant aux salariés, ils sont de plus en plus repoussés vers l’intérieur des terres. Dans les Alpes – Maritimes 40% du bâti est occupé en moyenne un seul mois par an. Dans la région de Marseille, l’arrivée du TGV a accéléré les restructurations industrielles. L’industrie chimique et métallurgique est sacrifiée sur la base d’arguments environnementaux servant de faire valoir à la politique globale des groupes capitalistes. Les services publics, comme partout, sont démantelés et tout cela au nom de la vocation touristique de notre région.

 

Le bilan de cette politique est catastrophique humainement et écologiquement. Le chômage et la précarité deviennent la règle pour les travailleurs et l’aménagement incohérent de nos territoires provoque des déséquilibres accrus, il n’y a pas de fatalité aux incendies de cet été.

 

La nouvelle loi concernant les élections régionales qui impose  (entre autre) aux listes de candidats de disposer de sommes astronomiques pour les dépenses de campagne nous empêche, pour des raisons financières, d’en présenter une (1). Cela ne nous empêchera pas d‘être présents durant la campagne pour dénoncer cette politique et montrer que d’autres choix sont possibles. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, il y a fort à penser que l’abstention à ces élections sera forte dans notre région et cela malgré l’épouvantail « LE PEN ».

Une fois de plus les travailleurs de notre région seront trahis par une gauche recherchant des élus mais au final qui se moule dans le modèle de dévelopement capitaliste de notre région.

 

Devant cette situation, il nous faut poursuivre nos efforts pour développer « Communistes » et ouvrir ainsi une perspective politique crédible en rupture avec les politiques actuelles. Les travailleurs de notre région ont besoin d’une force politique sur laquelle ils peuvent s’appuyer pour résister et lutter.

 

Antoine Roux

 

(1): mais nous aurons des candidats aux élections cantonales !

 

 

LE PEN

l’homme du patronat

 

LE PEN est l’homme du patronat et des puissances financières. Regardons son programme.

 

*il est pour le démantèlement de l’école publique, pour les privatisations, pour la réduction des dépenses publiques et sociales (12 milliards d’Euros par an) pour la suppression de l’impôt sur la fortune…

 

*C’est encore lui qui a déclaré qu’il fallait  porter progressivement la retraite à 70 ans.

 

*Son programme propose « l’interdiction pénale de la grève ». C’est lui qui avait déclaré au printemps 2003 : « la grève préventive à la SNCF est non seulement scandaleuse mais illégale ».

 

*Il est pour l’Europe capitaliste, il ne conteste plus l’Union économique européenne.

 

LE PEN est un homme foncièrement antisocial qui défend une politique qui aggravera encore la situation des travailleurs.

 

 

 

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Nous avons le plaisir de vous inviter

à la réunion publique d’Ile de France

 

         

Samedi 31 janvier à 14 heures

          Eurosite Paris la Chapelle

          69 ter rue de la Chapelle –Paris 18èm   Métro : Porte de la Chapelle

 

 

Avec Rolande PERLICAN secrétaire nationale

Sous la présidence de Jean GRIMAL membre du bureau national

 

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SOUSCRIPTION NATIONALE

POUR LES ELECTIONS

 

Il nous faut beaucoup, beaucoup d’argent pour financer les dépenses de campagne de nos candidats aux élections cantonales, sortir du matériel pour diffuser notre point de vue sur les élections régionales dans toute la France. Nous ouvrons aujourd’hui une grande souscription  nationale. Nous savons que nous pouvons compter sur votre aide.

 

Je verse pour la campagne électorale :………………………..Euros        

 

NOM……………………………….Prénom………………………..

 

Adresse………………………………………………………………

 

                                     Signature

 

Chèques à libeller au nom de Robert VEYRIER, à envoyer à Robert VEYRIER 4 rue des Princes 92100  BOULOGNE       

 

 

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DECENTRALISATION :

 Adapter la France à l’Europe capitaliste

 

 

Derrière les cantonales et les régionales de 2004 il y un projet nocif concocté par les gouvernements JOSPIN puis RAFFARIN. Il s’agit de la seconde phase de la décentralisation qui prépare activement l’organisation des sept grandes régions de la France métropolitaine qui seront mises sous la coupe directe de l’Europe capitaliste (Les listes pour les élections Européennes de Juin se feront sur ces 7 grandes régions).

 

  D’après les médias cette réforme permettrait une meilleure organisation des services publics.

Bien entendu il n’en est rien, cette réforme est un coup dur pour les acquis sociaux et démocratiques. Elle s’inspire des recommandations du patronat (MEDEF), de l’OCDE, de l’OMC et de l’Union Européenne. L’U.E. est à l’origine d’une politique de réduction des dépenses publiques.

 

  Les mesures de décentralisation ont pour conséquences l’éclatement des services publics : l’équipement, la santé, l’éducation nationale et l’accélération des privatisations

 

  Cette décentralisation, c’est paraît-il pour « aider les entreprises à augmenter leur rentabilité, transférer des millions d’Euros d’aides au profit des entreprises, favoriser l’esprit d’entreprise en Europe… ». On retrouve ce genre de directive dans les documents officiels. Déjà dans un document de 2002 le MEDEF écrivait : « pour les entreprises, le nouveau chantier de la décentralisation doit être l’occasion de réduire les dépenses de fonctionnement ». « Le double objectif de l’allègement des impôts et de la réduction des déficits publics ne pourra être atteint que si l’Etat et les collectivité territoriales donnent désormais la priorité à la baisse des dépenses de fonctionnement ».

 

  Il faut dénoncer cette décentralisation que tous les partis politiques, chacun à sa façon soutiennent. Nous sommes avec tous ceux qui luttent contre ses effets néfastes.

 

  Seuls les peuples pourront imposer par leur lutte le développement des nations européennes, sur une base qui ne sera plus la recherche du profit mais le progrès social, l’augmentation du niveau de vie, le plein emploi et le développement économique et social, une véritable coopération internationale.

 

 

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La recherche française en grave danger

 

Depuis des années, les gouvernements successifs se disputent la palme du meilleur réformateur de l’enseignement supérieur et de la recherche.. Leur objectif : les mettre entièrement au service des grands capitalistes. Aujourd’hui c’est un véritable recul de civilisation qu’on nous prépare. C’est un coup porté à la production nationale, au développement programmé de la réponse aux besoins sociaux et finalement à l’emploi et au niveau de vie des français.

 

Ils s’attaquent au statut des personnels pour précariser l’emploi et au statut des établissement pour les soumettre aux exigences du capital. RAFFARIN – FERRY continuent la voie ouverte par JOSPIN – ALLEGRE et LANG. La faiblesse des crédits contraint les Universités et les organismes de recherche à rechercher toutes sortes de financements privés, mettant le choix des programmes de recherche ou d’enseignement sous la coupe du patronat tant local qu’européen. Les crédits publics ont été fortement diminués, ce qui conduit, par exemple, les organismes de recherche à s’inscrire dans des thématiques imposées par le grand capital.

 

Face à ces budgets catastrophiques, face au recul de l’emploi la colère gronde et les réactions sont vives.

 

Sous différentes formes, les scientifiques protestent, et ils ont raison. Des mandarins universitaires tentent d’utiliser le mécontentement pour faire accepter des réformes qui vont dans le sens des objectifs du gouvernement et laissent entendre que l’on pourrait brader le statut des personnels et des établissements contre de nouveaux crédits.

 

Nous préférons quant à nous, appuyer les actions de ceux qui se battent pour le service public. Notre parti « COMMUNISTES » alerte les personnels et les aide à organiser la lutte pour un service public de recherche et d’enseignement supérieur capable de répondre aux besoins de formation et de connaissance. Des luttes plus importantes sont indispensables.

 

Reste la question centrale : celle de la perspective politique. Aucune organisation politique si ce n’est « Communistes » ne pose la question d’un changement de société, la question du socialisme.

 

Michel Gruselle

 

Le 28 janvier à 12 h. « Communistes »

Organise à Jussieu un débat

pour aborder ces questions politiques avec R. Perlican.

 

 

 

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