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Parti Révolutionnaire Communistes |
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N°590 Semaine du 10 décembre au
16 décembre 2018
Rapport au Bureau National
du 12 décembre 2018. Chers camarades, C’est notre premier bureau
national après la tenue de notre huitième congrès des 16 et 17 novembre qui a
confirmé la justesse de notre analyse de la société, comment faire pour en
sortir ?, Est-ce possible ? Avec quels moyens ? La richesse des débats a mis en valeur la profonde unité du parti et la
nécessité absolue de le développer, de le renforcer car au regard de la
situation actuelle, un parti révolutionnaire comme le nôtre est indispensable
au peuple pour montrer, démontrer la responsabilité du capital et de toutes
les forces qui le soutiennent dans cette bataille idéologique intense pour
faire croire qu’il n’y a qu’une seule société possible, une société fondée
sur le développement capitaliste, une société d’exploitation du travail,
touchants tous les secteurs de la vie. L’aggravation globale des conditions de vie, la violence des plans
d’austérité sont expliqués comme étant nécessaires dans une société
mondialisée ou la compétitivité, la concurrence, la rentabilité sont le lot
commun à tous les peuples du monde. Cette politique capitaliste fait des ravages partout car le capitalisme
n’existe pas pour résoudre les problèmes de l’humanité mais pour faire du
profit. Les peuples du monde sont confrontés, à la domination du capitalisme,
au même problème de difficultés de vie. Des résistances
s’organisent, des luttes sociales ont lieu dans de nombreux pays, mais
l’affaiblissement du mouvement révolutionnaire partout après la disparation
de l’URSS a accéléré l’exploitation capitaliste. Ce constat, nous le faisons souvent et nous continuerons à le faire
pour une raison simple : le développement de partis révolutionnaires est
essentiel, à partir de la réalité de chaque pays pour combattre et abattre
capital. Pour ce qui nous concerne en France, nous avons mis l’accent à notre
congrès sur le renforcement du parti, les débats ont démontré la volonté
d’engager toutes nos forces militantes pour y parvenir. De ce point de vue
nous vivons une période qui peut nous permettre de franchir une étape
importante. Le profond mécontentement que nous constatons depuis des années au
travers des luttes dans les entreprises, des initiatives syndicales locales
nationales, au travers également de l’abstention massive lors des élections
politiques et des sondages d’opinion, commence à s’exprimer. Les difficultés du
pouvoir à appliquer sa politique s’accumulent, les luttes touchent tous les secteurs et
ne s’arrêtent plus y compris pendant les périodes de congés que ce soit en
été ou en hiver. C’est le cas aujourd’hui. On a rarement vu ce niveau de
lutte en plein mois de décembre. Nous avions constaté les 9 et 18 octobre
dernier au travers des fortes mobilisations à l’appel de la CGT et de FO, la
possibilité de faire converger les luttes sociales, de leur donner plus de
puissance. Les centrales syndicales en ont décidé autrement, elles se sont
adressées au Medef pour exiger plus de « dialogue social », « seule garantie
des intérêts des entreprises et des salariés ». A chaque mesure de plus en
plus violente appelée « réforme » engagée par le gouvernement, les centrales
syndicales répondent par « dialogue social » dont on mesure les dégâts par
les reculs sociaux, nourrissant le mécontentement et l’exaspération, laissant
la place à tous les opportunismes lorsque la colère explose. C’est ainsi que le mouvement des « gilets jaunes » est né, à
partir d’une accumulation de difficultés, les annonces sur les taxes appliquées
sur l’énergie ont été le détonateur. Nous nous sommes exprimés sur ce mouvement, sa soi-disant spontanéité,
son contenu, ceux qui le dirigent, les manœuvres de récupération, dans quel but. Pour dégonfler la bulle du
mécontentement et poursuivre la politique du capital, il fallait bien trouver
aux forces politiques une voie en dehors des partis traditionnels, tous
mouillés dans les choix politiques antérieurs, et des syndicats qualifiés de
trop faibles, incapables de s’opposer aux décisions du pouvoir. Cette « troisième voie » hors politiques et syndicats a déjà été tentée
par le capital. Macron d’ailleurs a été élu sur
cette base dont voit bien aujourd’hui la finalité. Cette idée selon laquelle
« on est tous dans la même galère » patrons et salariés portent au fond
l’association capital-travail. C’est ainsi que les principaux dirigeants dont
les origines sont volontairement confuses ou masquées, sont des petits
patrons, des dirigeants d’entreprises mais aussi des responsables de partis
politiques de droite et d’extrême droite à la manœuvre pour manipuler le
mécontentement, le détourner, le dévoyer. Mais n’oublions pas que dans ce mouvement, il y a des travailleurs
excédés, cherchant une voie pour s’en sortir, car l’absence de perspective
politique pèse lourd. Cela fait maintenant plus
d’un mois que ce mouvement existe, il s’est développé sur la base de cette
colère sociale avec l’aide impressionnante de la propagande capitaliste, tout
est fait pour pousser dans une voie possible à l’expression du mécontentement
qui s’est présentée, sans que le capital ne soit visé. On a tous pu remarquer
l’absence totale du Medef, de la politique patronale quant aux
responsabilités de la situation. Au fur et à mesure que les questions
salariales et de pouvoir d’achat se sont posées, on a vu surgir les
propositions patronales telles que baisse des « charges » des entreprises et
autres plaidoyers similaires déjà appliqués par Macron. Rien n’a jamais été dit ni entendu sur la responsabilité du capital
dans la situation, rien sur les immenses profits réalisés, rien sur les
richesses créées. Cette volonté à vouloir exonérer le patronat de toute
responsabilité est distillée méthodiquement par les dirigeants du mouvement :
il n’y a qu’un coupable c’est Macron d’où le slogan
« Macron démission » pour faire oublier que Macron n’est que l’exécutant des multinationales à
l’origine de la politique de casse des acquis sociaux, de l’aggravation du
chômage et de la pauvreté, de la baisse des salaires et des pensions. Du côté des partis politiques dont l’opportunisme n’est plus à démontrer,
Marine Le Pen se sent des ailes lui pousser partout en dirigeant en sous-main
un mouvement qu’elle peut utiliser pour apparaitre comme un recours au
pouvoir actuel. En demandant la dissolution de l’Assemblée nationale, elle
vient au secours de la politique actuelle. Mélenchon affirme que pour
sortir de la situation il n’y a qu’un seul moyen : retourner aux urnes. Voilà
une proposition révolutionnaire ! ! Surtout lorsque l’on sait ce que chaque
dissolution a apporté au peuple au cours de son histoire. Aucun appel à la
lutte anticapitaliste, le sujet est soigneusement
évité, et pour cause, ils en sont les serviteurs. Cette recomposition politique de la société française propulsée à la
faveur des « gilets jaunes » n’a qu’un but : poursuivre et développer la
politique en cours en maîtrisant le mécontentement qu’elle génère. Le fond politique reste le même : • Du point de vue social,
poursuite de la baisse du « coût du travail », disparition des acquis
sociaux, appelés « réformes ». • Du point de vue économique,
faire disparaître, délocaliser toutes activités jugées non rentables. • Du point de vue politique,
recomposer les forces politiques, trouver la meilleure voie possible à
l’association capital-travail. Tous les outils de propagande qui sont
rappelons-le détenue à 95 % par les multinationales sont mises en œuvre pour
y parvenir. Les événements qui ont lieu depuis un mois, sont relayés de manière
quasi continue par l’ensemble des médias pour permettre au pouvoir de mettre
en avant la violence de ceux qui luttent (ce sont les méchants), pour faire
oublier ainsi la violence sociale accumulée année après année par les
multiples mesures prises par les gouvernements successifs. C’est également
une occasion pour réprimer et détourner l’attention, pendant qu’on parle des
dispositifs policiers à longueur d’antenne, on évite le reste évitant bien sûr l’origine des difficultés
sociales. Depuis tous temps, le pouvoir capitaliste a utilisé la violence
comme arme de propagande pour éviter de répondre aux revendications et
réprimer ceux qui luttent, rappelons-nous les conflits à Air-France et à la
SNCF, les militants trainés devant les tribunaux et condamnés. La violence
n’existe-telle pas à France Télécom, à La Poste ou les suicides ne se
comptent plus, les conditions de travail deviennent insupportables partout et
font des ravages, atteignent la santé des travailleurs. Pour autant, le pouvoir doit trouver une issue au mécontentement qui
donne l’illusion de répondre aux revendications sans rien changer à la
politique d’austérité. La mise en scène de lundi dernier relève du grand art, un exercice de
comédie digne des plus grands théâtres avec une mise en scène ridicule malgré
tous les efforts déployés par les médias pour dramatiser au maximum la
« parole attendue du chef de l’État » selon les médias. Le ton
larmoyant et compatissant employé par Macron n’a
pas caché bien longtemps les intentions : il faut donner l’impression de
répondre aux revendications sans toucher au capital ni remettre en cause la
politique de réformes accélérées. L’augmentation annoncée SMIC est une vaste fumisterie qui consiste à
faire payer les salaires par les salariés eux-mêmes. C’était déjà le cas avec
les exonérations de cotisations sociales reversées en salaire net, ici il
s’agit de payer l’augmentation du SMIC par l’impôt (budget de l’État).
« Cela ne coûtera pas un centime à l’entreprise » annonce Macron en bon défenseur des intérêts du capital. Pas
question d’augmenter les salaires et les pensions de retraite, la CSG reste
appliqué au-delà des 2000 € de pension, pas d’indexation sur les prix. En
annonçant les heures supplémentaires désocialisées, Macron
poursuit la politique de casse de l’ensemble de la protection sociale, en
aggravant ses ressources de financement. Les réformes sur l’assurance-chômage, la retraite, la fonction publique
sont confirmées, bref rien ne change, tout reste à gagner. La droite après les annonces de Macron
appelle à arrêter mouvement, le PS souligne les avancées, Mélenchon appelle
pour sa part à « l’insurrection populaire » autre proposition révolutionnaire
dans l’état des rapports de forces actuels. Du point de vue des syndicats, la CFDT conforme à son rôle de relais du Medef
appelle à l’apaisement et salue l’empathie de Macron
et au retour du « dialogue social ». La CGT appelle à faire de ce 14
décembre une journée de grèves et de manifestations pour les salaires et les
pensions, nous
soutenons cette initiative et serons présents partout où les travailleurs exprimeront
leurs revendications. Comme on le voit, au pouvoir on fait semblant de reculer, de donner
l’illusion de répondre au mécontentement sans que le capitalisme avec ses
objectifs soit mis en cause. Nous avons besoin d’éclairer sur le fond les objectifs poursuivis. Il
faut au capital trouver des solutions pour développer encore et toujours plus
le profit capitaliste. Pour cela il est indispensable pour le pouvoir, de
détourner le mécontentement en faisant semblant d’y répondre, de s’assurer un
maximum de soutien forces politiques et sociales pour assurer la paix
sociale. Nous ne pouvons dire aujourd’hui comment la situation va évoluer, mais
nous devons continuer à soutenir sans ambiguïté tous les travailleurs en
lutte dans leurs entreprises, appeler à l’amplification de ces luttes, à
leurs convergences. L’entreprise c’est le lieu d’exploitation du travail, c’est là où les
richesses sont créées, ou le profit capitaliste trouve son origine, c’est là
où il faut lutter pour revendiquer. Ce n’est pas pour rien si les « gilets jaunes » ont choisi de bloquer
les routes plutôt que d’engager la lutte dans les entreprises. Encore une
fois le patronat n’est pas tenu pour responsable des difficultés. Les projets du pouvoir actuel sont connus. Pour les appliquer il a
besoin nous l’avons dit de dégonfler la bulle de mécontentement avec l’aide
des forces politiques et sociales qui les soutiennent. On a vu le défilé continu de tous ces représentants politiques et
syndicaux qui se sont précipités à l’Élysée pour trouver une porte de sortie
au gouvernement en difficulté. « L’unité nationale pour sauver la
république menacée » est le nouveau cheval de bataille du pouvoir, c’est
l’idée du « nouveau contrat social. La « grande consultation » des
maires de France et des acteurs locaux pour « raviver la démocratie »
consistent à utiliser tous les moyens de proximité pour expliquer la
politique actuelle. Faire des 36 000 maires de France des relais à la
politique du pouvoir est l’objectif. La situation n’a pas changé après les annonces
de Macron, elle va encore s’aggraver pour les
travailleurs. La politique reste la même,
nous sommes loin d’une période révolutionnaire ou insurrectionnelle
que voudraient faire croire les opportunistes de tous bords. La classe ouvrière n’a que les luttes comme outil à sa disposition
pour faire aboutir ses revendications et il en faudra beaucoup plus pour faire reculer
le patronat. Il n’y a qu’une perspective politique claire pour changer de
société, c’est celle que nous portons et notre activité consiste à la faire
partager par les masses. Nous sommes dans cette phase importante. Nous voyons
tous le handicap que représente l’affaiblissement des forces révolutionnaires
dans cette période. Nous sommes le seul parti sur lequel la classe ouvrière,
tous les travailleurs, la jeunesse, le peuple tout entier, peuvent s’appuyer. Nous ne pouvons échapper au débat, il est partout. Les gens qui nous
parlaient hier que de la pluie et du beau temps, discutent sans retenue
aujourd’hui de la situation dans laquelle ils sont, du pouvoir politique, des
syndicats, c’est peut-être un des seuls mérites du mouvement actuel et cela
nous permet de donner notre opinion, d’établir un contact, mais aussi de
constater qu’il faudra beaucoup de temps et d’explications pour engager la
lutte politique pour la changer vraiment. Il faut aller à l’essentiel car
dans les débats actuels, ça va dans tous les sens, dans les détails et les
anecdotes. Nous constatons également, mais nous l’avons déjà souligné à
plusieurs reprises et à notre congrès, un plus grand intérêt à ce que nous
disons, aux tracts que nous diffusons. Il y a visiblement une recherche plus
grande pour sortir des difficultés, un intérêt à chercher des solutions. Nous avons donc un rôle très important à jouer dans cette période, tout repose sur notre activité
dans les départements, les luttes sociales ne cessent pas, les travailleurs
veulent se battre pour leurs revendications, la jeunesse au travers des
lycéens et des étudiants luttent pour le droit à l’enseignement supérieur et
à ses conditions d’accès. Le contact est plus facile aujourd’hui avec ceux qui luttent, nous
pouvons déployer nos forces en engageant les militants, les sympathisants à
aller à la rencontre des travailleurs, tenir des réunions, des assemblées. L’année 2019 sera riche en événements, nous ne savons pas comment va
évoluer les rapports de force mais nous devons nous engager pleinement dans
la bataille politique par notre présence auprès de ceux qui luttent. Les élections européennes vont être le théâtre d’une bataille politique
importante, c’est une occasion supplémentaire dans le contexte social actuel
pour apporter, développer nos propositions révolutionnaires. Éclaircir sur
les enjeux de ces élections, démontrer la convergence des politiques du
capital européen et les conséquences pour notre pays. Développer notre appel
à la lutte contre l’Europe capitaliste,
nos propositions, à l’heure ou toutes les forces politiques et
sociales avancent l’idée d’une « Europe sociale » sans s’attaquer au
capitalisme, c’est un piège tendu à ceux qui veulent que ça change. Il faut nous préparer à cette bataille politique dès maintenant,
décider de dates de réunions élargies, continuer à désigner nos candidats, le
temps va passer vite, il ne faut donc pas en perdre. Ces élections européennes ne peuvent échapper au débat sur l’état du
monde aujourd’hui, le poids de l’Europe capitaliste dans le monde, sa
responsabilité dans les pays qu’elle contrôle, les conséquences terribles que
cela engendre. Le mécontentement est profond en France, c’est le cas
également dans les pays d’Europe. Le capital utilise d’autres armes pour
faire face et poursuivre son développement. L’arrivée de forces politiques d’extrême droite, ouvertement fascistes,
l’installation de gouvernements autoritaires et racistes est l’outil utilisé
par le capital pour se développer. Cette montée des forces d’extrême droit en Europe est inquiétante mais
c’est aussi le résultat de l’affaiblissement, dont on a déjà parlé, des
forces révolutionnaires notamment dans les pays de l’ex URSS. Cette situation internationale dominée par le capital est le théâtre
d’affrontements entre grandes puissances. L’Europe veut jouer sa partition,
la France la sienne notamment en Afrique. Les pouvoirs autoritaires se multiplient en Europe et dans le monde car
il faut que le capital se développe quel qu’en soit le prix. Nous aurons à développer tous ces aspects dans le cadre de la campagne
des élections européennes en liant étroitement les conséquences de la
politique du capital mondial avec la situation que nous vivons en France. Chers camarades, Beaucoup de travail en
perspective dans cette situation sociale agitée, utilisons notre journal,
l’appel du congrès pour aller à la rencontre des travailleurs, prenons des
dates de réunion, continuons à établir la liste des candidats aux européennes
et puis bien sûr remettons les cartes d’adhérents 2019, pensons aux finances
du parti, sollicitons la souscription. Bonne fin d’année à tous, bons débats et bon repos pour celles et ceux
qui vont en prendre. Lire, enregistrer et/ou imprimer cette information
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Communistes 8éme congrès 16 et 17 novembre
2018 1 *La totalité des richesses
créées par le travail doit revenir au peuple 2 *Les travailleurs, la
classe ouvrière cherche des réponses aux questions : comment s’en sortir ? 3 *Les profits
considérables réalisés par les entreprises, 4 *Quelle perspective
politique pour tous les mécontents ? 5 *Voilà à quoi nous
sommes confrontés : 6 *Faire de la politique
au plus près des réalités... 7 *La situation nationale
et liée étroitement à l’état du monde aujourd’hui. 9 *Partout les budgets
militaires explosent... Rapport d’ouverture
Comité National du 20 octobre - La question politique se
résume... - Cette bataille
idéologique intense... - La situation politique
en France comme en Europe... - Un parti présent
partout,... ... ...
Journal Journal n°130 de décembre 2018 page 1 et 2 Edito et extraits du rapport d'Antonio SANCHEZ
au 8ème Congrès page 3 et 4 Résumé de la
discussion du 8ème Congrès page 4 Une bataille financière
indispensable - Les gilets jaunes Document -Document: CFDT, Un syndicat au Service du Patronat Tract - TRACT SEPTEMBRE: Stop ça
suffit! Tous ensemble dans la lutte Lire aussi… - Un seul choix: la lutte
de classes pour supprimer le capital. . - RENAULT-NISSAN: deux
capitalistes qui s'affrontent pour la direction de l'alliance. - ÉLECTIONS SNCF: un
succès pour les travailleurs et une CGT qui se battent . - Journal n° 130 de
décembre 2018 - La colère monte et
s’exprime contre Macron le représentant du capital. - Parti Révolutionnaire
Communistes- 8éme congrès –16 et 17
novembre 2018. Rapport d’ouverture - Luttes à Sorbonne
Université - Vendredi 16 et samedi 17
novembre se tiendra notre congrès à Paris - 11 novembre: Pas de paix
possible avec le capitalisme ! - Salaire, pouvoir
d’achat, pensions: la colère monte. |
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