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Parti Révolutionnaire Communistes |
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N°567 Semaine du 2 juillet au 8 juillet 2018
Rapport au Bureau National du 4 juillet 2018. Chers camarades, tout de suite quelques mots sur les luttes après
l’initiative du 28 juin dernier que les médias ont qualifié de « baroud
d’honneur » en minimisant ses effets ainsi que le niveau des luttes
actuelles. Ce qui n’est pas dit volontairement, c’est la diversité des
entreprises, des professions, des syndicats qui ont participé à cette journée
d’action. Certes, cela s’est moins vu dans la rue parce qu’une multitude
d’actions ont eu lieu dans les entreprises, sur les lieux de travail. Le
niveau des luttes ne baisse pas, que ce soit à Enedis
(EDF), dans les hôpitaux, dans la métallurgie et dans de nombreux autres
secteurs. La tendance est à l’élargissement des luttes avec comme revendications
essentielles les salaires l’emploi et les conditions de travail. Faisons connaître ces luttes et leur importance
tant du point de vue de ce qu’elles portent comme revendications, mais aussi
comme objectifs fondamentaux. La lutte des cheminots porte par exemple l’avenir des transports publics avec tout ce que
cela comporte comme développement nécessaire aux besoins de la population. Idem en
ce qui concerne la lutte des personnels hospitaliers et de la santé en général qui pose au fond la question : quelle politique de santé
pour satisfaire ces besoins énormes qui éclatent au grand jour ? De plus
en plus de personnes renoncent à des soins indispensables faute de moyens. Se
soigner selon ses besoins et non pas selon ses moyens devient une revendication
essentielle à faire connaître largement au moment où le pouvoir s’apprête de
nouveau à faire des milliards « d’économies » sur les dépenses de santé. On
connaît l’objectif, faire des profits sur la santé, cela fait longtemps que
le processus est engagé, le pouvoir veut l’accélérer. C’est tout le système de protection
sociale qui est visé : assurance-maladie,
Sécurité Sociale, hôpitaux, retraites, mais aussi aides sociales, logement,
chômage, bref, tout ce qui protège le peuple solidairement doit disparaître
au profit d’un système que chaque individu devra gérer selon ses possibilités
si le pouvoir parvient à ses objectifs. On peut réfléchir de la même façon avec la lutte que mènent les gaziers
électriciens d’Enedis, l’énergie est un besoin fondamental pour la population. Mais aujourd’hui,
ce sont les multinationales qui dictent leur loi, le gaz a augmenté de 7,4 %
depuis le 1er juillet, l’essence, le gasoil, l’électricité suivent
la même courbe. On voit bien que les luttes couvrent des enjeux importants
qui touchent l’ensemble de la population. Mais on ne trouve personne, à part
notre parti, pour faire le lien entre les luttes sociales revendicatives et
les questions politiques qu’elles génèrent. Les
luttes ne doivent pas seulement résoudre les problèmes immédiats, elles
doivent aussi susciter la réflexion politique. Rappelons-nous
les débats (toujours d’actualité) concernant les nationalisations. Même la droite avait
envisagé des « nationalisations partielles » ou « temporaires » suivie en
cela par tous les partis politiques qui en ont fait pendant un temps leur
cheval de bataille. Même en Grande-Bretagne, pays à la pointe
du profit capitaliste, les gouvernements ont privatisé puis nationalisé puis
de nouveau privatisé et le gouvernement d’aujourd’hui envisage à nouveau une
« nationalisation » des transports ferroviaires. Ces allers-retours public
privé visent à rendre plus rentable les transports par des investissements
publics chaque fois que l’entreprise privée le réclame. Cela
n’a rien à voir ni de près ni de loin avec ce que nous proposons : la
nationalisation d’entreprises dépourvues d’actionnaires capitalistes,
maîtrisées par les salariés et leurs élus en dehors de toute intervention
capitaliste. Entreprises entièrement dévouées à la satisfaction des besoins
sociaux qu’elles couvrent. Les
luttes actuelles portent ces enjeux, même si ce n’est pas majoritairement
conscient dans la tête de celles et ceux qui se battent. Notre rôle consiste
à éclairer sur ces questions, les luttes touchent des secteurs essentiels de
la vie sociale : transport, santé, énergie, protection sociale, nous
pourrions développer de la même façon sur l’éducation, les universités,
l’enseignement supérieur, la recherche, les salaires, dont personne ne parle
mais qui font l’objet de beaucoup de luttes dans beaucoup de secteurs alors
que le SMIC est dans le collimateur du gouvernement qui veut le remplacer par
des salaires « au mérite » déjà
bien développé dans le privé, l’objectif est de l’étendre dans la fonction
publique, il y a eu hier des annonces allant dans ce sens dans l’éducation
nationale. Nous avons beaucoup d’explications à donner, de
propositions à faire connaître parce qu’il faut bien
reconnaître que nous sommes seuls sur ces questions, tous les partis
politiques quels qu’ils soient sont loin des questions de société que nous soulevons.
Ils ne visent qu’une seule chose aujourd’hui : les élections européennes à
venir, on peut mesurer à quel point ils sont loin des préoccupations
actuelles. Il suffit de les écouter ou les lire dans leurs déclarations pour
s’en convaincre. Ils sont tous à la recherche d’alliances diverses que ce
soit à droite ou à « gauche » pour présenter une image trompeuse d’opposition
à la politique actuelle. Ils sont tous d’accord sur l’existence du
capitalisme, son développement ou son aménagement. Ce sont tous des alliés
objectifs de l’équipe actuellement au pouvoir, ils contestent les décisions
gouvernementales pour la forme mais n’en contestent pas l’origine et les
causes. L’équipe Macron a donc
tout l’espace politique pour accentuer et appliquer les réformes voulues
par le Medef qui reconnaît que Hollande a entamé le travail poursuivi par Macron. Gattaz a encouragé Hollande en son temps, il
félicite Macron aujourd’hui qu’il incite à aller
encore plus loin. Le nouveau président du Medef est un « modèle façon Macron » déclare une dirigeante du Medef. Il
y a bien longtemps que les multinationales détiennent le pouvoir en France ou
ailleurs dans le monde, elles dirigent la politique et mettent des équipes en
place pour poursuivre le développement capitaliste. Les profits battent des
records, la distribution de dividendes aussi, les cadeaux au patronat se
multiplient, les richesses créées sont totalement accaparées par les
multinationales. Ce
développement s’est accéléré avec la chute de l’URSS et on n’a pas fini d’en
mesurer les conséquences sociales et économiques. Partout
en Europe, les travailleurs sont soumis à une austérité sans précédent, les
acquis sociaux, les libertés sont attaqués, pas un pays n’y échappe, ce qui
entraîne comme en France un profond mécontentement
mais l’absence de parti révolutionnaire suffisamment puissant ou en
reconstruction pèse beaucoup sur les rapports de force aujourd’hui maîtrisés
par le capital. L’absence
de perspectives révolutionnaires, le profond mécontentement constitue le
terreau d’une politique encore plus dure pour les populations en recherche
d’une solution. L’extrême droite est un des fers au feu du capital qui
l’utilise dans certains pays d’Europe: Italie, Allemagne, dans les pays de
l’ancienne Union soviétique, aux USA mais aussi dans les pays d’Afrique où
des dictatures sont installées. Les mouvements revendicatifs qualifiés
de « révolution arabe » ont tous
étés repris en main par des pouvoirs capitalistes autoritaires que ce soit en
Égypte, Tunisie, ou bien sont fortement réprimés comme au Maroc. Mais cela n’empêche pas la lutte des peuples
comme en Angleterre dernièrement ou
40000 personnes ont manifesté leur colère contre la politique de santé,
en Grèce ou des journées de grève générale sont organisées contre l’austérité
ou au Maroc déjà cité. En
même temps, cette offensive du capital est accompagnée d’une politique
guerrière, agressive, dans une concurrence inter impérialiste menée par des
coalitions quelquefois éphémères qui s’affrontent. L’Irak, la Libye, le
Yémen, l’Afrique font l’objet d’affrontements, d’une course effrénée pour
posséder les richesses et exploiter les populations à moindre coût. Tout
le débat actuel sur les réfugiés est la conséquence de la politique du
capital mondial, l’Europe et le gouvernement français en tête, vient
d’adopter des mesures préconisées par l’extrême droite. Pendant ce temps, ils
continuent à massacrer les peuples en toute impunité. Aujourd’hui, ils
veulent les empêcher de fuir leur pays en les concentrant dans des camps hors
des frontières européennes. Nous disons souvent que le capitalisme est
capable de tout pour développer le profit, il emploie tous les moyens à sa
disposition pour le faire. Évidemment,
personne ne parle des vraies causes des dégâts humains qui se déroulent
aujourd’hui, c’est le silence total. Tous les partis rivalisent de
propositions consistant à gérer les conséquences de leur politique en versant
une larme de temps en temps ou en employant les mots « humanité » « dignité »
à tout bout de champ pour éviter le débat, leur complicité ne fait aucun
doute. L’article que nous avons publié la semaine
dernière sur le sujet rétablit la vérité. Il faut le faire connaître très
largement, utiliser les réseaux sociaux, Internet, mais aussi débattre dans
nos réunions, nos rencontres dans les départements de cette situation
internationale soumise à la loi du capital qui tue, massacre sans compter
mettant en cause la paix mondiale. Il n’y a qu’un budget qui augmente dans
les états capitalistes, c’est celui de la défense. Partout ils sont en forte
hausse, la France n’est pas en reste puisque Macron
veut porter ce budget à 2 % du produit intérieur brut, le choix de la
répression et de la guerre au détriment des besoins sociaux c’est le propre
du capital pour arriver à ses fins. La
politique de Macron en Afrique n’est pas différente
de celle des gouvernements antérieurs, au contraire, la présence militaire
française au Mali, au Niger, au Yémen renforce la mainmise que la France veut
imposer dans ces pays pour en exploiter les richesses. Encore aujourd’hui Macron est au Niger pour affirmer le combat « contre le
terrorisme », prétexte largement et souvent utilisé pour étendre l’influence
de l’impérialisme français dans la région. Cette
volonté de coloniser les territoires ne s’est jamais démentie. En Guyane,
département colonial français, des mouvements sociaux massifs se produisent
régulièrement auquel le gouvernement répond par des mesures ponctuelles qui
ne règlent rien. Le seul projet défendu par Macron
est l’exploitation d’une mine d’or à ciel ouvert pour « créer 700
emplois » dit-il en se gardant bien de taire les dégâts occasionnés par
la destruction de milliers d’hectares de forêt amazonienne ainsi que la
pollution des eaux. Ce projet est rejeté par la population guyanaise. Tout
cela au profit des multinationales qui s’en réjouissent, l’accord signé à
Paris sur le «réchauffement climatique » dont on nous a rebattu les oreilles a
fait long feu face au profit. Il n’y a qu’un seul moyen à la disposition des peuples,
c’est la lutte pour s’opposer à cette politique, c’est la
lutte et nous la soutenons partout où elle débouche sur des acquis sociaux,
sur le développement des idées révolutionnaires. Le capital en a peur, car lutter c’est lui
supprimer le profit, empêcher sa domination, lui couper les vivres. Mais
pour cela il faut un parti révolutionnaire fort et influent. C’est l’objectif que nous poursuivons,
chasser le capital est notre seul but, mais il ne suffit pas d’appuyer sur un
bouton pour y parvenir, encore moins de rêver d’un « grand soir » illusoire et
sans lendemain. Nous avons une conception de la politique qui est unique, qui
consiste à engager la lutte contre les responsables de la situation nationale
et internationale: le capital et ses serviteurs. Bien
sûr que ce n’est pas facile après les choix politiques qui ont été faits
après la chute de l’URSS, les partis révolutionnaire se sont sabordé et ont
choisi la gestion du capital comme ligne politique. Ce n’est pas notre choix
car le capital est incapable de résoudre les problèmes de l’humanité.
L’actualité nous le prouve quotidiennement. Voyons
bien également que les partis qui ont fait le choix de la gestion capitaliste
comme le Parti Communiste Français ou le parti de Mélenchon ont les plus grandes
difficultés à exister. Le Parti Communiste Français veut « rassembler tous
ceux qui veulent une autre politique à gauche » sans dire laquelle mais aussi
et surtout sans condamner le capitalisme comme cause essentielle des
difficultés économiques et sociales. Mélenchon, dans sa volonté de remplacer
l’ancien Parti Socialiste dont il est issu, souhaite un rapprochement avec B.
Hamont, on ne peut pas mieux faire dans la recherche d’équipes de
remplacements pour gérer le capital. Notre
responsabilité est donc très importante. Nous voulons changer de société par la
lutte politique avec et pour le peuple. Une
société débarrassée du capital et au service exclusif du peuple pour
satisfaire ses besoins. Après 16 ans d’existence et de riches
expériences, notre parti peut mesurer le chemin parcouru depuis. Notre
congrès, que nous allons préparer activement jusqu’en novembre marquera une évolution sensible du point de
vue de notre développement et de notre renforcement. Notre expérience nous a
appris à identifier les difficultés, elles sont essentiellement d’ordre
politique lié à la bataille idéologique intense menée pour empêcher toute
réflexion révolutionnaire et tenter de faire croire qu’aucune autre société
ne peut vivre en dehors du capitalisme. Nous
sommes les seuls à nous opposer à cette idée et nous sommes de plus en plus
écoutés sur cette question. Je ne vais pas revenir sur les énormes
progrès que nous avons accomplis depuis notre création, mais plutôt susciter
le débat sur ce que nous pouvons améliorer. Il
faut faire de notre prochain congrès un moment fort de renforcement, d’unité
autour des idées que nous portons. Tout cela bien sûr avec le souci constant
d’élargir, de densifier nos débats, de les faire partager par un maximum de
monde, ne pas hésiter à inviter largement celles et ceux que nous rencontrons
et qui s’interrogent sur comment s’en sortir ? Nous
allons examiner ensemble comment déployer nos forces dans les départements
avec l’aide de notre Bureau National et Comité National. Quelle aide apporter ? Dans quel
département ? Quand et avec qui ? Commençons à répondre à ces questions pour
arriver à des initiatives concrètes avec des dates précises, des contacts
pris avec les responsables départementaux, cherchons à réunir les camarades
que l’on appelle « isolés » mais qui participent activement à la vie du
parti. Sortons les listes de sympathisants, celles
et ceux qui nous aident, qui nous lisent pour les réunir et avoir un débat
politique avec eux. Comment
aller à la rencontre des travailleurs dans les entreprises ? Les quartiers
populaires? Les lycées ? Les universités ? Ciblons le plus efficace et pour
cela les responsables départementaux peuvent avec leur expérience, établir un
plan de travail concret. Il ne s’agit pas de tout faire parce qu’on
ne le pourra pas, mais il s’agit de faire régulièrement, avec toutes nos
forces. La politique que nous portons est affaire de conviction, nous le savons bien. Nous ne
faisons plus les adhésions comme il y a 30 ans, la situation a changé, le
capital a gagné pour l’instant la bataille idéologique au gré des abandons de
classe des partis politiques et du syndicalisme français. Nous
sommes conscients de cela et nous savons à quoi nous en tenir du point de vue
des difficultés que cela comporte, mais en même temps, nous l’avons dit,
l’espace politique pour construire une perspective révolutionnaire existe
puisque nous sommes seuls sur ce terrain. Les
partis dits de « gauche » ont les plus grandes difficultés à s’accaparer du
mécontentement profond exprimé dans les luttes, les sondages, l’abstention
massive lors des élections. Et pour cause, ils ont tous été au pouvoir et ont
baigné dans l’aménagement du capital avec ses conséquences désastreuses pour
les travailleurs. Dans
ce contexte, le peuple cherche une autre voie qui peut amener on le sait à
une réaction de la bourgeoisie pour installer les partis d’extrême droite
comme nous l’avons déjà souligné. Nous ne disposons pas de l’attention et de
la promotion de la propagande capitaliste dont bénéficient les partis
actuels. Nous n’avons que notre activité militante pour occuper le mieux
possible cet espace politique qui existe pour renforcer notre parti, et étendre
encore son influence. Nous sommes organisés pour cela, voyons ensemble
comment faire pour y parvenir. Lire, enregistrer et/ou imprimer cette information
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