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Parti Révolutionnaire Communistes |
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N°583 Semaine du 22 octobre au
28 octobre 2018
Comité National du 20 octobre. Compte-rendu de la discussion *Un camarade de Paris. Souligne
que depuis 5 ans le pouvoir
d’achat des retraités a subit 3
baisses: sous Hollande avec la création de la CASA, en 2018 l’augmentation de
la CGS. En 2019 les retraites ne seront augmentées que 0,3% bien en dessous de l’inflation. Pour une
retraite de 1300 euros, ce sont 372 euros de moins en 2018 et pour 2019, ce
sera déjà 272 euros en moins, sans compter les augmentations à venir dans
l’année (par ex. l’énergie). Un sondage fait apparaitre que les retraités
sont inquiets, qu’ils rejettent les « réformes » Macron. – Concernant les PTT, les salariés après une
grève puissante ont obtenu des résultats (voir article sur le
site) ; nous y distribuons le matériel du parti et nous discutons
beaucoup avec les postiers. Concernant les questions internationales, il
évoque l’Afrique où après les Multinationales Chinoises, Américaines, très
implantées, les allemands à leur tour se mettent sur les rangs. En Chine il y
a des luttes sur les salaires, les conditions de travail. Il rappelle, que le
capitalisme fait travailler des millions d’enfants dans le monde. *Un camarade de la faculté Jussieu à Paris. Evoque la perception que les salariés ont de la situation. Lors des
distributions de tracts les gens nous interpellent, il y a une vraie colère,
en même temps ils ne croient pas qu’on puisse réellement faire quelque chose
pour obtenir un changement. Ex. sur les retraites ou sur la fusion imposée
des universités Paris1V et ParisV1 et ses conséquences. A Jussieu, un
rassemblement organisé par syndicats la veille du 9 octobre a réuni plus de 200 participants ; le
mécontentement est très fort mais on s’exprime sur ce qui semble le plus
accessible à obtenir pas sur ce qui parait le plus difficile comme les
salaires. Il faut vraiment revenir sur l’idée
de la nécessité de lutter tous ensemble pour stopper Macron.. Lors d’un séminaire à
la Sorbonne, est venue une discussion sur la nécessité de se battre contre le
capitalisme mais comment ? Quelle perspective ? Pour développer la lutte sociale, il faut une
CGT de lutte de classe pour les travailleurs; il y a débat dans la CGT entre
réformistes et révolutionnaires. Sur le plan politique, quel outil politique
faut-il pour se battre contre le capitalisme ?On
ne fera pas d’alliance à n’importe
quel prix. L’état d’esprit est en
train de changer avec la réalité vécue, le début de luttes. La vitesse
d’évolution des consciences ne dépend pas que de nous. Concernant
l’Europe, nous devons bien expliquer
notre ligne – contre l’Europe
capitaliste- que nous développerons lors de la campagne électorale de mai
2019. Sur la situation mondiale, il faut bien associer la bataille de classe
en France et les conséquences que cela a dans le rapport de force
international. *Une camarade de l’Indre. On voit la remise en cause de tous les
acquis sociaux, tout est attaqué. Concernant la fermeture de la maternité de
Le Blanc, au rassemblement contre la
fermeture, il y avait 200 manifestants et autant de CRS. Les personnels ont
conscience de la situation, ils vivent cela très mal mais il y a une
difficulté à percevoir à percevoir l’importance de la lutte tous ensemble, sa
portée. C’est une question que nous rencontrons aux PTT et ailleurs. Pourtant
on sent qu’il ne manque pas grand-chose pour que l’étincelle s’allume. Il y a
des luttes dans les bureaux de poste, des résultats mais rien n’est fédéré.
Il faut discuter du fond des questions. Mener le débat sur la lutte n’est pas facile quand la direction de la
CGT avec les autres syndicats prône le dialogue social. *Un camarade de Paris. Confirme le mécontentement énorme qui s’exprime. Les travailleurs ont
envie que ça change mais ils sont « noyés » par les annonces tous
azimuts du gouvernement. Alors comment faire pour l’action, quand la
perception des choses est si morcelée ?
Nous devons hisser d’un cran nos explications politiques et notre
discours doit porter sur l’idée que les salariés doivent s’en mêler si on
veut que la lutte soit assez forte pour faire reculer Macron. *Un camarade du Calvados. Souligne l’importance de l’activité du
Parti et de son développement. Après la publication de notre hebdo internet
chaque semaine, nous recevons des courriers de lecteurs qui nous remercient
pour les explications que nous apportons. A la manifestation du 9 octobre,
nous avons reçu un accueil très positif et le soutien de nombreux
participants à qui nous l’avons donné. Nous avons reçu par la poste, faite
sur l’encart du tract, une adhésion à
notre Parti. Il y a une accélération de la politique de Macron
vers les privatisations, par ex à l’hôpital : la réorientation des
personnes qui viennent aux urgences vers le secteur de la médecine privée. A
la RATP depuis plusieurs années, 150 postes sont supprimés pour préparer la
privatisation et 1500 suppressions d’emplois sont annoncées en vue de
l’ouverture à la concurrence. *Un camarade de Paris. Le mécontentement s’exprime fortement, de manière délocalisée et
diverses. Il y a une bataille idéologique « les
luttes sont inutiles ». Il faut argumenter pour ouvrir une
perspective politique aux travailleurs, pour avancer y compris pour
développer les luttes sociales. Il faut bien affuter nos arguments dans la
lutte politique contre le capital. *Une camarade de Loire Atlantique. Nous étions une vingtaine à notre repas
annuel. Nous avons beaucoup discuté. Il y a une bonne perception des coups
qui sont portés et les plus exploités jugent bien que les capitalistes sont
responsables. Il y a des luttes dans
les entreprises – on en a dénombré 270, sur les salaires et les conditions de
travail. Il est clair pour tous que ce
n’est pas en changeant Macron qu’on va changer la
situation. Alors, c’est en changeant quoi ? Changer le
système ? Il y a une ouverture
intéressante, plus large, à la lutte politique. La question posée est :
avec quel Parti ? La France Insoumise ? Non, partager les richesses n’apparait pas comme
une solution, on a vu après 36 – 45 – 68, les capitalistes dès qu’ils le peuvent font tout pour
récupérer ce qu’ils ont dû concéder. La lutte de classe revient très fort dans les discussions de militants syndicaux. Dans les
manifestations du 9 octobre, des jeunes étaient demandeurs de nos tracts.
Nous allons régulièrement voir la jeunesse et discuter. *Une camarade
de Paris. Confirme le constat d’un
mécontentement énorme. Les salariés agissent dans de nombreuses entreprises,
sur leurs problèmes, la nécessité les y pousse et ils perçoivent que leur action peut amener des résultats. Nous
devons donc sans arrêt monter que tout est lié, que les problèmes de
chacun rejoignent ceux des autres –
d’ailleurs Macron attaque tout, parce que les
objectifs du capital forment un tout vers le but : le profit maximum
– nous devons donc agir tous ensemble ( les actions interprofessionnelles) pour le faire reculer. C’est compliqué, la
bataille de classe est rude. Quand notre parti s’est créé, nous avions noté
le recul idéologique (fin de l’URSS – le PCF passé au réformisme, la
répercussion chez les dirigeants CGT) et le capital qui tape fort et vite.
Cela souligne l’importance permanente de nos explications pour clarifier les
raisons de la situation, montrer que seule la luttepeut
imposer des résultats, qu’elle a payé chaque fois qu’elle a été importante et
déterminée. Il ne faut pas perdre de vue que nous sommes aujourd’hui le seul
parti politique révolutionnaire. Sur la situation mondiale, on constate
l’enrichissement capitaliste, la concentration des richesses, dans le
classement des pays, la France est juste derrière les USA et la Chine. Aujourd’hui, c’est une nouvelle étape du
développement du capitalisme. On se trouve dans une situation de
confrontation impérialiste internationale avec la guerre économique et
politique, USA- Chine en cours. Nous devons montrer que ce qui se passe dans
le monde capitaliste est monstrueux pour les peuples, cela éclaire ce qui se
passe en France avec Macron et le capital. La
question de fond posée est donc bien l’existence du capitalisme. Seule la
lutte clairement anticapitaliste, de plus en plus large et forte peut faire
changer les choses. *Une camarade de l’Indre. Le gouvernement, les entreprises comme la
Poste attaquent de tous côtés. Nous devons être offensifs sur la bataille
politique. Notre présence avec notre politique dérange. La bataille n’est pas
simple dans un département comme l’Indre où au fil des années de nombreuses
entreprises ont fermé, où les services publics disparaissent. Nous devons
faire un grand travail d’explications pour entraîner à l’action. *Un camarade de Paris. Là où on va on a des résultats. Comment les étendre plus rapidement,
développer notre activité dans un plus grand nombre d’endroits. Notre congrès
devrait pousser cette réflexion : comment avoir un parti encore plus
efficace, qui agisse tous azimuts, car nous sommes le seul parti politique à
agir contre la capitalisme, pour l’abattre, changer
de société. Des gens qui avaient voté Macron, sont
déçus, en colère, le « désamour » est arrivé vite. Mais Macron doit aller encore plus loin et plus vite, les
intérêts du capitalisme l’exigent.
Nous ouvrons une perspective mais il faut la faire connaître, la faire
partager, adopter par les gens de plus en plus nombreux, les appeler à lutter
avec nous, à adhérer à notre Parti pour cette lutte. *Un camarade de la Nièvre. Nous sommes dans une période de colère
avec la recherche de quelque chose pour que ça change. Nous devons beaucoup
réfléchir aux questions politiques. Le PS se délite avant de se
reconstruire ? Le PCF est en grande difficulté, il est à la recherche
d’une nouvelle union de la gauche ? La France Insoumise veut aménager le
capitalisme. La droite, le R.N. de Marine Le Pen cherchent à reprendre la
main. Les recompositions politiques ne vont pas s’arrêter, Macron usé elles vont avancer de nouvelles équipes pour
gérer la politique du capital. *Un camarade de l’Indre. Nos tracts sont très lus. Certains réagissent et nous disent
« mais ce n’est pas possible de se passer du capitalisme », les
plus jeunes n’ont connu que le capitalisme. Nous discutons avec tous pour
montrer ce qu’est le capitalisme, d’où il vient, que oui on peut s’en passer
et construire une autre société. A la réunion des retraités les arguments que
nous développons ont été repris. Nous devons bien montrer les moyens d’une
autre politique. *Un camarade de l’Eure. Revient aussi sur la nécessité de bien montrer que dans ce système
capitaliste c’est une petite minorité qui profite en exploitant la majorité.
Il est nécessaire de faire une révolution pour enlever au capital les moyens
économiques, financiers, politiques et construire une autre société au
service du peuple. *Plusieurs camarades, de Paris, du Calvados, de la Nièvre, dans un court échange, rapportent que dans
les entreprises, le patronat, pour tenter d’entraîner les travailleurs à
s’associer au système d’exploitation capitaliste, ne parle plus d’ouvriers
mais de « collaborateurs ». Chacun a pu constater que dans la lutte
idéologique, le thème de « l’inexistence de la classe ouvrière »
n’est pas nouveau. C’est fait pour enfumer la réalité. Ce qui est certain et
central, c’est que l’exploitation capitaliste n’a pas disparue, au contraire
elle s’est renforcée. Le profit est réalisé en tout 1er lieu à
l’entreprise, lieu de l’exploitation. *Un camarade de Paris. Revient sur la nécessité pour le peuple d’avoir un Parti
Révolutionnaire qui aille au combat. Ce parti, nous devons étendre son
activité, le renforcer. Si nous avançons sur cette idée centrale, ce sera
important pour la suite. En conclusion,
Tonio Sanchez, secrétaire National Les 16 et 17 novembre se tiendra notre 8ème
congrès. Nous allons débattre, des
questions politiques, comment porter plus haut notre activité, renforcer
notre parti. Nous avons une perspective: lutter pied à
pied contre le capitalisme jusqu’à l’abattre et construire une société
socialiste au service du peuple. Cette perspective il faut la faire partager,
partout, par les travailleurs, les jeunes qui ont leur avenir à construire. Le constat, confirmé par le CN: il y a à la
fois mécontentement, colère, luttes et hésitations, questions, doutes, même
chez ceux qui luttent. C’est là qu’il faut porter nos efforts, amener nos explications, appeler à la lutte,
combattre la résignation. Changer de
société, est-ce crédible, comment faire ? Le capitalisme domine le
monde. En France comme ailleurs, il possède les moyens de production,
économiques, financiers, le pouvoir politique. Pour changer de société il
faut leur arracher ces moyens, en confier la gestion au peuple, à ses représentants.
Notre objectif immédiat est de
contribuer au développement de la lutte économique et sociale,
interprofessionnelle de plus en plus forte pour stopper Macon., de développer
la lutte politique, de l’élargir, car c’est avec les travailleurs, la jeunesse,
le peuple que nous imposerons le changement de société. Notre congrès doit pousser la réflexion sur
toutes les questions politique. Il doit consacrer une part importante à la réflexion, la discussion sur comment avancer. Nous avons les outils :
Notre Parti – si nous n’étions pas là ce serait le désert politique- les
organisations du parti avec notre expérience de toutes ces années, notre
Hebdo internet. Comment,
développer encore plus notre activité dans les entreprises, dans la jeunesse,
dans les quartiers populaires, quelles initiatives prendre, appeler plus
largement à adhérer à notre parti ? Pour réaliser tout cela, améliorer la vie du parti, les réunions,
faire de la politique, organiser l’activité, les initiatives, la batille
financière, organier la formation théorique des adhérents. Nous sommes dans la préparation de notre
congrès. Dans les réunions, les camarades,
les sympathisants que nous inviterons, vont débattre de toutes ces
questions. Les délégués
au congrès seront porteurs de ces débats, des décisions. Ils feront la
richesse de notre congrès et de ses décisions pour porter plus avant notre
parti. Lire, enregistrer et/ou imprimer cette information
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