N° 890 02/09/2024 RENTRÉE SCOLAIRE : DES « MILLIERS D’ENFANTS » HANDICAPÉS SANS SOLUTION !
Faute de solution adaptée, des milliers d’enfants handicapés ne pourront pas faire la rentrée scolaire cette semaine, alerte l’association Unapei, qui appelle les pouvoirs publics à réagir.
Des « milliers d’enfants » handicapés se retrouveront à la rentrée sans solution de scolarisation adaptée, affirme l’Unapei, l’une des principales associations dans le secteur du handicap intellectuel, qui reste prudente face aux mesures annoncées par le gouvernement.
« Même si de plus en plus d’enfants en situation de handicap sont accueillis à l’école, les difficultés persistent », témoigne Sonia Ahehehinnou, vice-présidente de l’Unapei, en raison notamment du manque d’AESH, chargés de l’accompagnement des élèves handicapés.
Dans un communiqué, l’association a évalué la situation d’élèves handicapés suivis par des associations locales.
Selon son étude, dans l’Eure 27 % d’entre eux ont accès à moins de six heures de cours hebdomadaires, un chiffre qui monte à 40 % dans l’Hérault et 50 % dans la Sarthe.
En Loire-Atlantique, plus de 900 élèves attendent d''être pris en charge dans un institut médico-éducatif (IME) ou par un service d’éducation spéciale et de soins à domicile (Sessad), pointe l’Unapei.
De son côté, l'Éducation nationale fait état de « plus de 470.000 élèves en situation de handicap scolarisés, dont les deux tiers seulement bénéficient de l’aide d’un accompagnant ».
Des familles « désespérées » !
L’Unapei a également recensé 945 témoignages de familles, dont les enfants sont déscolarisés ou partiellement scolarisés.
Parmi ces témoignages, Leila Chaoui, 50 ans, ne savait pas fin août « s’il y aura une AESH à la rentrée », indispensable à l’entrée en CP de sa fille de six ans, atteinte d’hémiplégie et de troubles du langage.
Iteb Panneto, mère d’un enfant de huit ans atteint d’un handicap moteur et mental, se dit « désespérée » : en attente d’une place en IME depuis six ans, son fils sera accueilli deux jours par semaine dans une classe Ulis (Unité localisée pour l’inclusion scolaire) spécialisée.
La rentrée marquera la mise en oeuvre des annonces du gouvernement pour l’école inclusive, avec notamment le déploiement de « pôles d’appui à la scolarité » dans quatre départements (Aisne, Côte-d’Or, Eure-et-Loir, Var).
Composés d’un professeur référent et d’un éducateur spécialisé, ils proposeront des aménagements pédagogiques et du matériel adapté, sans attendre comme aujourd’hui, une notification de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH).
« Il faut que les aménagements soient vraiment effectifs », insiste Sonia Ahehehinnou, qui alerte au sujet des conséquences « dramatiques » sur la prise en charge des élèves en cas de manque de personnel.
ASSOCIATION FOUQUE (MARSEILLE) : NOUVELLE RÉPRESSION SYNDICALE !
Suite à la mise en place par la direction générale de l'association Fouque (hébergement social pour enfants en difficulté) d'une enquête interne à l'encontre d'élus et représentants syndicaux, menée par une entreprise privée à but lucratif dénommée EGIDIO ne possédant aucune habilitation ni agrément, Malika Lassami et Christian Barbe ont été convoqués à un entretien préalable à une sanction disciplinaire pouvant aller jusqu'à leur licenciement pour faute grave !
Mais qu'ont-ils donc fait de si grave ?
Uniquement les missions pour lesquelles ils ont été élus ! C'est à dire s'assurer qu'au sein de l'association Fouque les salarié-es soient traité-es de manière équivalente, qu'il n'y ait pas de passe-droit, que certains cadres dirigeants ne se gavent pas sur le compte des autres salarié-es, que les enfants dont ils ont la responsabilité ne soient pas maltraités, que l'argent public ne soit pas détourné...
Oui mais voilà...
Tout porte à croire que pour le directeur général de bons syndicalistes ce sont des béni-oui-oui qui ne cherchent jamais à savoir le pourquoi du comment et qui, surtout, accompagnent docilement les décisions prises par lui-même !
… avec la CGT, ça n'a jamais été possible !
Depuis toujours, la CGT œuvre au quotidien pour que les droits des salarié-es soient respectés, que personne ne porte atteinte à la dignité des travailleurs, que la santé de chacun soit préservée, que la probité et la transparence deviennent les fondements du fonctionnement de l'association Fouque ! Certes, le chemin est encore long mais nous avons fait d'énormes avancées !
Alors que l'association Fouque a déjà été condamnée pour usage abusif du pouvoir disciplinaire de l'employeur, ses dirigeants s’entêtent encore à vouloir liquider celui et celle qui défendent réellement l'intérêt des salariés !
C'est le retour de l'inquisition !
L'opacité dans laquelle s'est déroulée cette enquête interne est hallucinante ! Le président d'EGIDIO et M. GOMEZ-BONNET ont catégoriquement refusé de donner le montant payé par l'association Fouque pour cette prestation sur-mesure et ont indiqué qu'ils ne transmettront aucun document de cette enquête ! C'est à dire que n'importe qui a pu raconter n'importe quoi sans que les personnes incriminées ne puissent savoir qui a dit quoi !
La CGT s'engage à faire toute la lumière sur cette enquête !
Notre organisation syndicale va, bien évidemment, répliquer judiciairement au déroulement de cette pseudo-enquête et à ses conséquences. Des plaintes pénales seront systématiquement et individuellement déposées contre toutes les personnes qui auront effectué des attestations mensongères. Il faut que justice soit faite et que les imposteurs et les menteurs payent !
LES SYNDICATS ENSEIGNANTS APPELLENT À LA GRÈVE DANS LES ÉCOLES MATERNELLES ET ÉLÉMENTAIRES LE 10 SEPTEMBRE !
Ils dénoncent la généralisation des évaluations dans toutes les classes de l'école élémentaire.
Des syndicats enseignants, CGT éducation, FSU-SNUipp et Sud éducation, prévoient une journée de grève dans les écoles maternelles et élémentaires le mardi 10 septembre, contre la généralisation des évaluations dans toutes les classes de l'école élémentaire. Les trois syndicats appellent les professeurs des écoles à ne pas faire passer ces tests, car la grève aura lieu "pendant la passation des évaluations nationales", précise Guislaine David, porte-parole de la FSU-SNUipp.
"On s'oppose depuis plusieurs années à ces évaluations qui n'étaient jusqu'à présent qu'en CPry CE1 et qui sont apparues en CM1 l'année dernière". À la rentrée, elles seront généralisées à tous les niveaux de l'école élémentaire, du CP au CM2. "Il est essentiel d'enrayer la machine et de ne pas faire passer les évaluations nationales", souligne la responsable syndicale.
Des évaluations, source de stress déclarent les syndicats !
Les organisations syndicales réclament la libre passation de ces évaluations et dénoncent leur caractère obligatoire.
Ces tests sont source de stress pour les enseignants, les élèves et leurs parents. " Ces évaluations ne sont pas utiles pour les enseignants, elles ne vont pas prédire ce qu'ils vont faire ensuite dans leur classe et, surtout, elles vont certainement avoir pour conséquence des injonctions qui vont réduire la liberté pédagogique". Ils uniformisent les pratiques, limitent la liberté pédagogique des enseignants et ne résolvent en rien les difficultés des élèves dénoncent les organisations syndicales.
LES MA FRANCE AULNAY TOUJOURS MOBILISÉS POUR DÉFENDRE LEUR USINE !
La contestation du PSE est lancée ! Depuis le 16 avril 2024, les salariés de MA France Aulnay luttent pour faire valoir leurs droits. Le Groupe Stellantis, à la fois client, fournisseur des matières premières, et propriétaire des machines-outils de l’usine, a sacrifié 280 emplois en CDI et une centaine d’emplois intérimaires, pour gonfler les profits déjà mirifiques qu’il engrange.
CLN, propriétaire des murs de l’usine et maison mère de MA France, n’a eu de cesse lui aussi d’évacuer sa responsabilité sociale. La lutte des MA France a poussé les autorités publiques de nommer un médiateur pour tenter de sortir par le haut de ce conflit. Or, CLN et Stellantis auront usé de toutes les manœuvres pour négliger les légitimes revendications des salariés.
A l’issue de cette « médiation » un accord a été mis sur la table qui a été refusé par les 2/3 des MA France !
La lutte continue !
La CGT a décidé d’accompagner les salariés dans leur souhait d’engager des procédures auprès des tribunaux.
La contestation du PSE est lancée. De très nombreux manquements ont été constatés et une décision devrait intervenir au plus tard dans 4 mois. Nombre de procédures prud’homales sont en préparation et seront déposées dans les semaines à venir. Le refus des licenciements des élus CSE par l’inspection du travail conforte l'appréciation de la CGT sur cette liquidation de la dernière usine de la filière auto du 93.
Une liquidation guidée par des motifs financier, que nous jugeons frauduleuse et qui a proposé un PSE formel, qui s’avère en réalité être une véritable coquille vide. Les salariés en lutte continuent d’occuper leur usine et réitèrent leur exigence d’un nouveau tour de table. Leurs revendications sont simples et légitimes :
- Garantie des salaires pour les élus non encore licenciés,
- Garantie de reclassement et/ou prime supra légale pour les salariés n’ayant pas signé la transaction.
CLN et Stellantis tentent de décourager le maintien du piquet de grève à l’aide d’agents de sécurité et d’huissiers. Des initiatives vaines ! Les salariés en lutte défendent leur dignité et leurs droits et continueront à dénoncer les relations donneurs d’ordre/sous-traitant.
Pour l’emploi, l’outil industriel, ils ne lâchent pas !
L’ÉTÉ DE LA HONTE !
Des services d’urgences fermés temporairement, jusqu’à 70h d’attente sur des brancards, des professionnels épuisés, des morts que nous pouvons éviter. Voilà la triste réalité du système de santé de notre pays.
En moins de 24h, le gouvernement annonce 1.510 postes d’internes en moins à la rentrée et la mise en état de vigilance maximale du système de santé en prévention de l’épidémie de MPOX (variole du singe).
Si le ridicule ne tue pas, le manque de moyens et de professionnels, oui. Le macabre de la situation est de la responsabilité du gouvernement. Les services d'urgences au bord de l'effondrement. Partout en France, les témoignages se multiplient sur la dégradation alarmante des services d’urgences. De plus en plus de structures ferment leurs portes la nuit et le week-end, laissant des patients sans soin pendant des heures et des professionnels de santé épuisés.
Les fermetures nocturnes et durant les week-ends deviennent la norme dans de nombreuses régions, privant des populations entières d'un accès immédiat aux soins d’urgence. Ces fermetures témoignent de l'état critique du système hospitalier, épuisé par des années de restrictions budgétaires. Les plans d’économies successifs ont conduit à une réduction des effectifs, au gel des salaires et à une surcharge de travail insoutenable pour les soignants. Cette situation, en déclin depuis des années, est le résultat de politiques d’austérité répétées :
- Dans le Vaucluse, les urgences de l'hôpital de Carpentras sont ouvertes uniquement le matin (de 8h30 à 13h30) depuis mardi dernier et pour les trois prochains mois.
- Dans les Côtes-d'Armor, le centre hospitalier de Saint-Brieuc fait lui aussi face à un manque d'effectif médical, le poussant à instaurer une régulation temporaire de l'accès aux urgences adultes.
- Après une très longue fermeture, pour la première fois, les urgences de Laval seront ouvertes uniquement six nuits en septembre.
- En Sarthe, les urgences du Bailleul ont été fermées en août les week-ends, les jours fériés et toutes les nuits de 23h à 8h30.
- En Dordogne, les urgences de l’hôpital de Sarlat sont fermées depuis mardi jusqu'à jeudi 8h30. Cette fermeture temporaire a été décidée faute d'urgentistes, les deux médecins étant en arrêt maladie.
- Les hôpitaux lorrains ont également connu des perturbations cet été, le Centre Hospitalier de Briey (Meurthe et-Moselle) a par exemple été contraint de suspendre temporairement l’accueil des urgences du mardi 30 juillet 16h au mercredi 31 juillet 9h. La prise en charge des accouchements y a également été suspendue du 18 juillet 23h au samedi 20 juillet 8h30, faute de soignants.
La Fédération CGT de la Santé et de l’Action sociale exige que ces situations cessent et que des mesures soient prises pour éviter les pertes de chance pour les usagers. Il est impensable que la crise continue de s’accentuer, les pouvoirs publics doivent réagir, investir et anticiper les besoins, dès le PLF et le PLFSS 2025.
RENTRÉE SCOLAIRE EN LOIRE-ATLANTIQUE : APPEL À LA MOBILISATION DÈS LA RENTRÉE !
Les organisations syndicales CGT éduc'action, FO, FSU, Sud, SNL du 44 communiquent :
La rentrée se fait dans une situation ubuesque : la ministre de l'Eduction Nationale "démissionnaire" annonce l'application de l'ensemble des mesures décidées par un gouvernement qui n'a plus aucune légimité, suite aux résultats des élections législatives provoquées par la dissolution de l'assemblée nationale par le président Macron.
Selon lui, il faudrait poursuivre les "réformes" engagées, de la réforme des lycées professionnels jusqu'au "choc des savoirs", incluant la passation des évaluations standardisées et le Pacte enseignant, avec un budget prévisionnel ampûté de 700 millions, en appliquant une circulaire de rentrée des classes du 27 juin, comme si de rien n'était...
Ces réformes, largement contestées et âprement combattue dans notre département, la majorité des personnels, des parents d'élèves, des organisations syndicales et de jeunesse n'en veulent pas. Elles sont encore moins acceptables aujourd’hui qu'hier !
La rentrée ne peut pas se faire sans une remise en cause des mesures décidées par un gouvernement aujourd’hui démissionnaire. En cette rentrée, aucune annonce n'est faite pour améliorer les conditions de travail des personnels.
Les revendications demeurent, notamment l'abrogation du "Choc des savoirs" Attal / Belloubet et la réforme de la voie professionnelle, pour un véritable choc des moyens !
Les organisations syndicales signataires appellent l'ensemble des collègues :
- A se réunir dès la pré-rentrée, en assemblée générale, en heure d'information syndicale ou de manière plus informelle pour discuter de cette sitution, réaffirmer les revendications, établir les besoins en heures, postes et conditions de travail.
- A décider des moyens d'action pour faire valoir leurs revendications, y compris par la grève dès le 2 septembre, jour de la rentrée, des préavis nationaux déposés par nos organisations syndicales, couvrant l'ensemble des personnels.
- A transmettre à leurs organisations syndicales toutes les initiatives et toutes les informations sur les besoins non pourvus dans leurs écoles, services ou établissements dès la semaine de rentrée (manque d'AESH, postes ou heures non pourvues, non remplacement...)
DE LA RUE À L'ÉCOLE : 2043 ENFANTS SANS SOLUTION D'HÉBERGEMENT LE JOUR DE LA RENTRÉE SCOLAIRE !
L’UNICEF France et la Fédération des acteurs de la solidarité révèlent, dans leur 6ème baromètre, une augmentation alarmante du nombre d’enfants sans abri, malgré les alertes répétées et les recommandations formulées, loin d’être suivies. L’incertitude du contexte politique fait craindre une dégradation de la situation.
Au moins 2 043 enfants étaient sans solution d’hébergement dans la nuit du 19 août, soit une hausse de 120 % par rapport à 2020. Parmi eux, 467 ont moins de trois ans. Si ces chiffres illustrent une situation dramatique, ils ne sont pas exhaustifs : de nombreuses personnes ne recourent pas ou ne parviennent pas à joindre le 115 (69 % des personnes sans-abris n’appellent plus ou pas le 115). Par ailleurs, les mineurs non accompagnés sans-abri et les familles vivant en squats ou en bidonvilles ne sont pas comptabilisés.
Dysfonctionnements et échecs politiques face à un nombre record d’enfants à la rue !
Nous constatons, cette année encore, une hausse du nombre d’enfants laissés pour compte à la rentrée scolaire. Les gouvernements successifs ont opté pour des politiques de court terme, loin d’œuvrer en faveur de réponses structurelles et ambitieuses.
Pire, des orientations délétères ont vu le jour ces dernières années : loi dite « anti-squat », détricotage de la loi SRU, baisse des APL…
Face à une crise du logement et de l’hébergement qui perdure, nous constatons un abandon de tous les principes fondamentaux et juridiques de l’accueil, qui ne permettent même plus de protéger des femmes enceintes et des enfants de moins de trois ans.
« Vous avez plus de 2 000 enfants dans les rues de ce pays. Il y a eu un engagement pris par le gouvernement en 2022 à les sortir de cette impasse, que nous attendons toujours. Nous demandons que ces enfants et ces familles soient sorties immédiatement de cette situation indigne », appelle Pascal Brice, président de la Fédération des Acteurs de la Solidarité.
Le temps des promesses doit laisser place à l’action concrète !
Les enfants, oubliés lors de la campagne des législatives, doivent dès à présent être au cœur des priorités du nouveau gouvernement et des parlementaires. L’UNICEF France et la FAS appellent en ce sens à une augmentation immédiate des places d’hébergement, promise depuis janvier 2024, ainsi qu’à la mise en œuvre d’une programmation pluriannuelle de l’hébergement et du logement, conformément aux principes du Logement d’Abord.
La vision court-termiste et les promesses sans lendemain doivent laisser place à des politiques ambitieuses pour un accès au logement durable.
« Cette augmentation incessante du nombre d’enfants sans abri est une tragédie. Pour la sixième fois, notre baromètre révèle une dégradation constante de la situation, en violation flagrante des principes de la Convention internationale des droits de l’enfant, que la France a ratifiée », s’indigne Adeline Hazan, présidente de l’UNICEF France.
Ces solutions concrètes doivent être mise en œuvre sans délai pour garantir à tous les enfants un logement ou un hébergement digne, adapté à leurs besoins et conforme à leur intérêt supérieur. La Convention internationale des droits de l’enfant, ratifiée par la France, nous y engage collectivement, mais c’est avant tout notre humanité qui nous y oblige.
EXXONMOBIL (SEINE-MARITIME) : PAS DE PLAN DE RETRAITE ANTICIPÉ, VERS LE LICENCIEMENT D'UNE CENTAINE DE SALARIÉS EN PLUS DU "PLAN SOCIAL' ?
Alors que 677 postes vont être supprimés sur le site ExxonMobil de Port-Jérôme-sur-Seine (Seine-Maritime) et qu'une guerre de négociations fait toujours rage entre les syndicats et la direction, le départ à la retraite anticipé d'une centaine de salariés pourrait être compromis… Les conduisant à être simplement licenciés.
La décision de la direction de revenir sur les mesures d'âge ouvrant la retraite anticipée aux plus âgés suscite un tollé parmi les salariés et les organisations syndicales, trois semaines après leur refus de signer l'offre du Plan de sauvegarde de l'emploi (PSE).
"La grève continue" !
AIDEZ NOUS, SOUSCRIPTION NATIONALE
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