210 000 manifestants dans plus de 160 rassemblements dans toute la France. Les travailleurs de très nombreux secteurs, des jeunes et retraités ont manifesté ensemble confirmant le mécontentement et la volonté de faire converger les luttes face à la politique de Macron et son équipe.
À Paris pour empêcher le bon déroulement de la manifestation, des violences ont eu lieu, organisées et encadrées. Elles étaient annoncées, la préfecture de police les prévoyait. Pourquoi le gouvernement n’a pas pris les mesures préventives pour les stopper ?
Personne ne découvre donc ces violences qui se répètent à chaque manifestation, mais chacun est en droit de se poser la question : à qui profitent-t-elles ?
Les débats autour des « casseurs » ont fait l’objet de la plupart des reportages télévisés et des médias en général, reléguant au deuxième plan l’importance de la mobilisation, l’origine du mécontentement et la dynamique engagée sur la coordination et la convergence des luttes.
La crainte essentielle du pouvoir et du Medef est le mouvement social qui s’amplifie dans tout le pays. De nombreuses luttes ont lieu actuellement, d’autres sont prévues tout au long du mois de mai, c’est le chemin que prennent de plus en plus de travailleurs.
Ils ont notre soutien sans faille.