Orange, nous bloque l’envoi de notre hebdo en s’appuyant sur le règlement européen de la protection des données. Avec ce règlement on aboutit à une censure politique.
Le pouvoir censure notre politique anticapitaliste, il tente la disparition pure et simple de nos publications, cette restriction est liée aux mobilisations en cours.
C’est l’expression de la surenchère autoritaire du gouvernement : après la loi "anticasseurs" votée à l’Assemblée, les lois votées contre le "terrorisme", toutes basculent progressivement dans le droit commun avec un effet « tache d’huile » pour museler la contestation sociale.
Une police virtuelle traque les contenus des sites.
Macron veut conforter, par la force, l’ordre social dominé par le grand capital.
Ainsi les syndicats CGT de cheminots ont vu des limitations de leurs pages Facebook qui coïncident avec le début du mouvement empêchant leurs publications d’être partagées sur les fils d’actualité. Certaines pages ont également été totalement bloquées comme celle de SUD Rail Paris Nord.
Cette vague de censure touche directement et exclusivement de nombreuses pages militantes qui subissent des formes de censure sous prétexte qu’elles auraient partagé des contenus « contrevenant aux standards de la communauté ».
Le capital utilise comme toujours la répression pour imposer sa politique. Le capitalisme continue à s’organiser, se structurer en réaction à ces mouvements.
Tout cela nous conforte dans notre analyse qu’il n’y a bien qu’une voie pour changer le monde : celle de la lutte des classes pour abattre le capitalisme et construire le socialisme!
C’est le combat de notre Parti.
Le capital ne nous bâillonnera pas.
Nous poursuivons la diffusion de notre hebdomadaire.
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