La déclaration de candidature du Président Bouteflika, fortement diminué depuis son AVC en 2013, a suscité la colère du peuple algérien et tout particulièrement de la jeunesse. Au pouvoir depuis 20 ans Bouteflika est aujourd’hui incapable de se mouvoir ni de parler. Derrière son portrait ceux qui gouvernent sont en réalité la fraction de la bourgeoisie oligarchique qui a fait main basse sur les revenus de la rente pétrolière. Le Parti Algérien de la Démocratie et du Socialisme PADS décrit ainsi la situation dans un communiqué
Le résultat de l’élection présidentielle au Congo Kinshasa, visant à la succession de Joseph kabila vient d’être proclamé par la commission électorale. Le dauphin désigné du Président Joseph Kabila, Ramazani Shadari, a du s'incliner. L'opposant Martin Fayulu dont beaucoup prédisaient l’élection a été devancé par le troisième homme, Felix Tshisekedi, qui a été déclaré vainqueur le jeudi 10 janvier, à la surprise générale. Felix Tshisekedi s’est empressé d’affirmer qu’il travaillerait à une transition pacifique et dans le même temps il a pris en compte le succès aux élections au parlement des forces qui ont soutenu le candidat de J. Kabila, au compte desquelles se trouve le Parti Communiste du Congo.
Depuis le 25 février 2018, le millionnaire Cyril Ramaphosa est président de la République d’Afrique du Sud élu par le parlement. Il succède à Jacob Zuma, président démissionnaire, devenu impopulaire. La corruption du gouvernement Zuma et de l’ANC discrédite le régime. C’est l’une des raisons qui poussent la bourgeoisie du pays à se débarrasser de Zuma et de ses soutiens pour tenter de reprendre le contrôle des finances et redonner un peu de légitimité à l’Etat capitaliste car l’ANC anticipe une catastrophe électorale en 2019
La direction du Parti Communiste du Soudan (PCS) a été attaquée et les responsables du Comité Central arrêtés à la suite de la manifestation de masse qui s'est déroulée à Khartoum le 16 janvier pour protester contre l'augmentation du prix du pain.