Le déficit du premier semestre 2018 bat un record : 33,5 milliards. Experts et gouvernement nous en expliquent les causes.
Pour eux, la première raison en est le prix plus élevé du pétrole. Viennent ensuite le coût trop élevé des salaires, la faible productivité des investissements réalisés, la faible qualité des productions, le peu d’empressement des entreprises vers l’exportation.
Différents journaux économiques ont souligné le « retour de l’inflation », comme si les prix avaient cessé d’augmenter ! !
Les ministres des finances du G20 étaient réunis ce week-end en Argentine.
Ce sommet n'a fait que confirmer les lignes de chacun. Washington a tenté d'isoler Pékin, en proposant un accord de libre-échange avec l'Europe. Ces derniers mois, le président américain Donald Trump a déclaré la guerre à ses principaux rivaux commerciaux, Pékin, Bruxelles et Moscou en tête, dont il a fait des « ennemis ». Après les taxes douanières sur l’acier et l’aluminium visant surtout la Chine, les États-Unis menacent désormais de surtaxer les importations automobiles européennes, de sanctionner les pays qui commercent avec l’Iran et de taxer de façon punitive la totalité des importations chinoises.
La commission gouvernementale qui a pour « mission » de réaliser des « économies » de 30 milliards pour réduire les déficits publics a terminé ses « travaux ». Le document qui devait rester confidentiel jusqu’au mois d’octobre, préconisant les mesures pour réaliser ces «économies » a été publié par un syndicat.
Le jour même éclatait « l’affaire Benalla », le barbouze de l’Élysée, auteur de violences lors de la manifestation du 1er mai à Paris (bizarre, bizarre !).