L’épidémie du Corona virus continue à se développer dans notre pays causant des dégâts humains très importants notamment chez les plus fragiles et les plus pauvres, ce qui est toujours le cas dans une société dominée par le capitalisme qui impose sa politique.
Depuis le début de cette épidémie (voir nos articles précédents), nous avons dit que le gouvernement allait utiliser cette crise sanitaire pour masquer les responsabilités que porte la politique menée depuis des décennies, exigée par le capitalisme français.
Tout indique que la crise sanitaire qui embrasse aujourd'hui tous les continents aura des conséquences majeures sur la situation économique, sociale et politique des États ainsi que sur leurs relations et leurs devenirs. En effet, quand plus de trois milliards d'hommes et de femmes sur les sept milliards que compte la planète sont "assignés à résidence" avec des effets massifs sur la production et les échanges qui sont en chute libre, comment imaginer que cela ne pèse pas, ce d'autant que la plupart des chaînes de production et de valeur dominées par les entreprises multinationales sont fortement interconnectées?
Nous redisons face à chaque situation que le capitalisme ne peut pas répondre aux besoins de l’humanité. Sa nature profonde consiste à exploiter le travail des hommes pour en tirer un profit maximum dans le moins de temps possible.
Les conséquences pour les peuples sont terribles.
Au fur et à mesure que le capital s’est mondialisé, conflits armés, guerres multiples pour conquérir de nouvelles terres, maîtriser les richesses et les peuples se sont multipliés.
La pandémie de Coronavirus ainsi qualifiée par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a pour conséquence dans le monde le développement d'une crise sanitaire, économique et sociale d'ampleur. L'épidémie partie de Chine dans la région industrielle de Wuhan a conduit rapidement les autorités chinoises à prendre des mesures sanitaires très strictes de restriction de la circulation et d'arrêt d'une partie des activités économiques. Cette politique semble aujourd'hui porter ses fruits si l'on en juge par le reflux, sur le territoire chinois de la propagation du virus avec comme conséquence la reprise progressive des activités économiques et sociales.