« Le monde paraissait simple au début des années 2000. La puissance américaine incontestée, la mondialisation comme horizon indépassable et la croyance dans « la fin de l’histoire ». écrit dans un texte B. Spitz, président de la commission Europe et international du Medef. Mais constate-t-il aujourd’hui tout a changé : « Sur un fond d’économie mondialisée, concurrentielle, inégalitaire, équitable pour certains, inéquitable pour beaucoup, un chômage de masse, des profits mal répartis. Le dégagisme politique incarne le rejet de ces dérèglements ».
Tous les débats de la semaine, toute la propagande capitaliste nous ont abreuvés de la tenue du G7 à Biarritz. Elle s’est appliquée à faire de Macron le chef d’orchestre des grandes puissances impérialistes.
Nous savons depuis longtemps pourquoi ces grandes puissances qui gouvernent le monde ont besoin de s’organiser pour développer et rentabiliser toujours plus vite les capitaux que possèdent les multinationales internationales.
Tous les débats de la semaine, toute la propagande capitaliste nous ont abreuvés de la tenue du G7 à Biarritz. Elle s’est appliquée à faire de Macron le chef d’orchestre des grandes puissances impérialistes.
Nous savons depuis longtemps pourquoi ces grandes puissances qui gouvernent le monde ont besoin de s’organiser pour développer et rentabiliser toujours plus vite les capitaux que possèdent les multinationales internationales.
Un constat s’impose en cette fin de période des vacances estivales : la persistance et le développement des luttes sociales dont certaines s’inscrivent dans la durée. Elles traduisent la profondeur du mécontentement social et la permanence des revendications sur l’emploi, les salaires et les conditions de travail. Malgré les manœuvres du gouvernement et parfois de vagues promesses ce dernier n’arrive pas à juguler ces mouvements (« Macron marche sur des œufs dans un climat de grande défiance » écrit le journal « Les Echos »).