Le 23 juillet dernier, le Parlement a adopté la « réforme » de la fonction publique.
Le fond politique de cette réforme capitaliste vise à rendre rentable pour le capital les services publics. Faire du profit dans tous les secteurs de la vie comme la santé, les collectivités territoriales, les services de l’État est une vieille exigence des multinationales qui veulent supprimer toute contrainte à l’exploitation de ces secteurs essentiels pour satisfaire les besoins sociaux.
95 % des médias sont détenus par de grands groupes financiers et des multinationales industrielles, la domination du capital dans l’information écrite parlée et télévisée et sans partage.
Cette maîtrise des médias est destinée à mener une bataille idéologique intense consistant à nier toute possibilité à construire une autre société en dehors du capital, une société au service du peuple.
Ce dont le pouvoir et le patronat ont une peur bleue, c’est de l’union des travailleurs dans la lutte pour satisfaire leurs revendications.
L’enfumage des opérations sur la fiscalité pour répondre aux mouvements des « gilets jaunes » n’a pas eu l’effet escompté, les salaires sont toujours en berne, les pensions de retraite également, les réformes capitalistes se poursuivent aggravant sans cesse les conditions de vie de la population.
Ce dont le pouvoir et le patronat ont une peur bleue, c’est de l’union des travailleurs dans la lutte pour satisfaire leurs revendications.
L’enfumage des opérations sur la fiscalité pour répondre aux mouvements des « gilets jaunes » n’a pas eu l’effet escompté, les salaires sont toujours en berne, les pensions de retraite également, les réformes capitalistes se poursuivent aggravant sans cesse les conditions de vie de la population.