Ce n’est pas d’hier que nous avons souligné la profondeur du mécontentement populaire. Les équipes gouvernementales qui se sont succédées ont toutes appliqué avec méthode les ordres dictés par le capitalisme.
L’austérité imposée au peuple depuis des années, la casse continuelle de plus en plus violente des acquis sociaux a produit un mécontentement profond touchant tous les secteurs et pratiquement toutes les catégories de salariés.
Le gouvernement poursuit ses mauvais coups, il a fait définitivement adopter lundi 3 décembre par l'Assemblée Nationale le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2019. Macron poursuit et accélère les réformes à venir, il ne lâche rien sur l’agenda des "réformes". Il fait vite d'autant qu'un acteur contrarie ces plans: le mécontentement et la colère. Il confirme les « réformes » de l’assurance-chômage, de la retraite, de la fonction publique, des secteurs énergétiques, du système de santé …La loi de financement de la Sécurité sociale pour 2019 c’est:
La COP 24 se tient à Katowice en Pologne. Ce forum international dont les décisions ne sont pas
contraignantes pour les Etats, se réunit chaque année et fait l’objet d’une grande couverture médiatique. Les chefs d’Etats ou de gouvernement y font assaut de bonnes intentions concernant le climat en s’appuyant sur le rapport annuel du Groupement International d’Etude sur le Climat (GIEC). Malgré sa dénomination scientifique,
Le mécontentement qui existe depuis des années c’est approfondi au gré des « réformes » engagées par les pouvoirs successifs au service des grands groupes capitalistes. Diffus, il prend des formes diverses, l’absence de perspective politique accentue encore le désarroi, mais les luttes sociales n’ont jamais cessé pour résister aux coups de plus en plus violents assénés par le pouvoir contre les acquis des travailleurs.